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"Depuis que tu es parti... il ne s'est pas passé un moment où je ne t'ai porté en moi. J'ai travaillé ou je suis restée... à la maison, et je n'ai pas ri, je n'ai pas pleuré, je n'ai pas pensé, je n'ai pas regardé sans que, automatiquement, ton image vienne s'infiltrer entre le monde et moi pour rire, pleurer, penser, regarder avec moi.
C'est vraiment bien la peine d'avoir les dents du bonheur...
Oh tristesse de mes nuits
Je chante la plainte du lit où tu as dormi
Le creux de ton empreinte vibre encore
Et désole mon corps
"Il y a quelque chose de terrifiant à être seul, plus même qu'à se sentir seul. Et à présent c'est ma vie. Cette solitude, cette angoisse, cette peur de l'heure suivante, de la nuit qui vient et du matin qui suivra".
Joyce Carol Oates
Déjà deux mois sans un mot ici. Où passe ce temps ?
Moi sans toi, ça ne veut rien dire...
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mon amour pour toi est tellement infini que parfois il me fait peur. Je pense que plus personne ne me croit. Qui peut croire qu'on peut aimer à ce point, quelqu'un qui n'est plus là pour partager, plus là pour l'entendre ? Je découvre que le symbole de l'amour infini existe :
Je suis rentrée de Beaune dimanche. C'était bien, la ville, le Festival... Et je me souviens de 2014 à la même époque exactement.
Hier soir un homme merveilleux que tu adorais m'a fait un baise-main !
Pourquoi à moi ?
Mystère.
Sans doute parce que j'étais à sa proximité, ou parce que je suis une Reine.
Toi tu seras toujours, éternellement beau, jeune et souriant. C'est ton anniversaire. Merci à ceux qui y ont pensé.
ça me rend malade que tu ne sois pas là.
Un an de plus ? Le temps qui passe, les rides, le nombre de bougies... Tu aurais dit :