Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Sur la Route du Cinéma - Page 454

  • WIKIO sur Ma Route...

    Wikio, c'est scientifique.

    Si. (la preuve ici*)

    Et chaque mois ce "portail d'informations" qui "fouille dans les sites de presse et les blogs pour trouver l'actualité" établit un classement par genre. En ce radieux mois de novembre et alors que le classement officiel n'est pas encore paru, vous êtes plusieurs à  être venus m'annoncer la grande nouvelle : 

     

    Sur la Route du Cinéma arrive en tête.

     

    Et c'est paru ici, le blog qui s'appelle Vodkaster le Blog mais qui est un peu plus qu'un blog (c'est écrit dedans... la blogosphère est merveilleuse et drôle !) 

    Comme je suis d'une nature reconnaissante, j'ai envie de dire merci mais je ne sais pas à qui véritablement. J'ai bien compris que plus on est "lié" (linké comme on dit chez nous) à partir de blogs haut placés plus on grimpe.
    Cela dit je persiste à croire que l'amour que nous partageons pour le cinéma, l'éclectisme et la subjectivité de mes choix, la passion que je tente de vous faire partager pour cet "art" qui nourrit mon imaginaire, mes rêveries, mon évasion... et aussi notre goût commun pour les jeux débiles du lundi à images floutées... sont ce qui continuera à vous faire emprunter cette route.

    tof 003.jpg

    ça n'est peût-être pas clair, mais j'embrasse un Oscar... ramené d'Hollywood, un vrai donc...

    Profitez de ce que vous êtes là pour aller voter et faire de ce blog le Very Nice Blog J 

    et continuez le jeu du lundi ici.

     

     

    *preuve ici :

    "La position d'un blog dans le classement Wikio dépend du nombre et de la valeur des liens qui pointent vers lui. Ces liens sont dynamiques, c'est-à-dire qu’ils s’agit de rétroliens (backlinks) ou de liens postés à l’intérieur des articles.

    Seuls les liens présents dans le résumé du RSS sont comptabilisés. Les blogolistes (blogrolls) ne sont pas prises en compte et le poids des liens décline en fonction du temps, ceci afin d’être le plus représentatif possible de l’influence actuelle des blogs sachant que le Top des blogs est mis à jour tous les premiers du mois.

    De plus, la valeur de chaque lien dépend du classement du blog qui le poste. Ainsi, dans notre algorithme, la valeur d'un lien posté sur un blog du haut du classement est plus importante que celle d'un lien posté sur un blog de moindre autorité.

    Enfin, le Top des Blogs propose également des classements thématiques : High-tech, Gastronomie, Littérature, Politique, Sport... De nouveaux classements voient le jour régulièrement."

  • Les acteurs et les personnalités...

    Avec un peu de retard, voici le jeu cinéma du lundi que vous attendez en trépignant !

    A gauche une "star" de la télé, de la chanson, de la politique etc...

    Vous devez trouver quelle star se cache à droite et qui pourrait en interpréter le rôle.

    J'ai un nouvel appareil photos, il faut me laisser le temps de m'habituer aux réglagles ! Merci, silence dans les rangs.

    J'ai fait quelques réglages ! Vous ne pouviez pas le dire qu'on n'y voyait rien ? Oups, pardon, j'avais dit silence... C'est bien, vous écoutez.

    1

    1.jpg1.jpg
    Angelina Pitt Jolie en Cléopâtre - Yes Fred
    cleopatre-angelina-jolie.jpg

    2

    2.jpg 30.jpg
    Amanda Lear en Dalida (mouarf) oui Jordane
    dalida-amanda-lear.jpg

    3

    3.jpg 2.jpg
    Brad Jolie Pitt en James Dean (boaf) - Si Fred
    james-dean-brad-pitt.jpg

    4

    4.jpg3.jpg
    Anthony Hopkins en Jean-Paul II (il peut le faire !) - Si si Fred
    jean-paul-2-anthony-hopkins.jpg

    5

    5.jpg  4.jpg
    Johnny Depp en Kurt Cobain (bof) - Bravo Sandra M.
    kurt-cobain-johnny-depp.jpg

    6

    6.jpg 6.jpg
    Sharon Stone en Marilyn (n'imp') - Da Fred
    marilyn-monroe-sharon-stone.jpg

    7

    7.jpg  7.jpg
    Jeanne Moreau en Mère Teresa (pfiou) comme dit Jordane
    mere-teresa-jeanne-moreau.jpg

    8

    8.jpg segolene-royal-carole-bouquet.jpg
    Carole Bouquet en Ségolène Royal - Oui Jordane
    segolene-royal-carole-bouquet.jpg
    9
    9.jpg9.jpg
    Lou Doillon en Mylène Farmer (no comment) - Yes Jordane
    mylene-farmer-lou-doillon.jpg
  • Sin nombre de Cary Fukanaga ***(*)

    Sin NombreSin Nombre

    Sayra doit émigrer du Honduras vers les Etats-Unis en compagnie de son père qu’elle vient de retrouver. Casper membre de la terrifiante Mara mexicaine (gang de bandits qui tuent et terrorisent d’autres bandes du même tonneau, sans cause, sans raison… juste pour terroriser et tuer !!!) y fait intégrer Smiley un jeune garçon d’une dizaine d’années. Pour entrer dans la Mara, c’est simple. Il suffit de se laisser tabasser de treize coups (pieds ou poings, ils sont par regardants) par plusieurs costauds. Puis, pour gagner ses premiers galons : un tatouage par fait d’armes, rien de plus simple également ! Tuer un membre d’une bande adverse ! Ces gens là existent vraiment. Ils n’ont aucune revendication, aucune lutte, leur point de ralliement est un cimetière.

    Lorsque Sayra, son père et son oncle se retrouvent sur le toit d’un train rempli d’émigrés en route pour la terre promise américaine, ils sont attaqués par le chef de la Mara locale dont Casper et Smiley font partie. Pour venger l’assassinat de sa fiancée, Casper tue le chef de la bande qui s’apprêtait à violer Sayra. Dès lors, il doit fuir et choisit de rester sur (on ne peut dire « dans » puisque ces passagers clandestins voyagent sur le toit) le train. Il sait qu’il va mourir et le plus difficile pour lui est de ne pas savoir quand.

    Il ne reste à Casper qui n’a plus rien et plus rien à perdre qu’à survivre quelque temps avec ces migrants qui se méfient de lui, essaient de s’en débarrasser pendant qu’il lutte pour ne pas dormir. Tous doivent également faire face à la police de l’immigration, à la police tout court et aux bandes de truands organisées, groupes qui vivent comme des misérables mais n’hésitent pas pour autant à s’en prendre à plus misérables qu’eux, sans parler des intempéries, du climat.

    Terrifiant, saisissant, sacrément fort, terriblement pessimiste, le jeune réalisateur dont c’est le premier film nous donne des nouvelles d’une partie du monde qui ne va pas bien sans pour autant tomber dans le misérabilisme. Cela dit entre le désir de fuite de certains et leurs difficultés parsemées sur le chemin pour y parvenir en restant en vie ne sont pas sans rappeler les horreurs commises dans une certaine « jungle » française. Ce qui nous amène à repenser égoïstement à la chance de ne pas être né dans certains coins de la planète…

    La partie où la jeune Sayra tombe assez brutalement amoureuse de son sauveur, le survivant en sursis qu’est Casper, est nettement moins convaincante et pas vraiment justifiée. Néanmoins on est face à une œuvre de fiction magnifiquement interprétée qui traite de thèmes réels très lourds pour un film qui ne l’est jamais.

     

    P.S. :

    Si j'avais une rubrique les ptits gars de la semaine, le très Tchoupinou réalisateur y aurait sa (bonne) place... Mais il ne suffit pas d'être joli, encore faut-il avoir du talent. C'est le cas. Alors : plaisir des yeux

    Sin Nombre

  • Aimer Clint, Être Cécile...

    Clint Eastwood tournait à Paris et en France avec Cécile de, quelques scènes de son prochain film "Hereafter" un thriller surnaturel avec aussi Matt Damon, Mylène Jampanoï, Thierry Neuvic, Marthe Keller...

    2.JPG
    Photo par moi-même...

    Vous pouvez trouver quelques images du tournage en cliquant sur la vidéo ici.

    Vidéo Pure People

  • Clones de Jonathan Mostow **

    ClonesClones

    Imaginons un peu que la technologie ait été poussée si loin que chacun d’entre nous ait la possibilité de s’offrir un clone. C’est la machine qui irait au travail, sortirait en s’exposant à tous les dangers de la vie alors qu’on resterait tranquillement chez soi à vieillir et à ne rien craindre. La criminalité aurait chuté de 99% et partout ne circuleraient que des tops models répondant à tous les critères de beauté, d’élégance et de séduction (mouarf) qui ont cours actuellement… car même si vous étiez au moment de l’achat un obèse vieillissant, vous pourriez choisir d’être connecté à un clone ayant l’apparence d’une blonde à forte poitrine (par exemple, c'est pas obligé).

    Evidemment il resterait quelques « réfractaires » à la robotoisation parqués hors de la ville dans un no man’s land sous la coupe d’une pourriture autoproclamée « Le prophète ».

    C’est dans ce meilleur des mondes choisis que vit Tom, agent du FBI qui n’a plus grand-chose à perdre (puisqu’il a perdu son fils et presque sa femme…) ni à faire à part envoyer des clones en réparation. Jusqu’au jour où un clone est abattu et… nouveauté, son propriétaire meurt aussi. L’agent Tom/Bruce Willis va remonter jusqu’à la source et découvrir qui en veut aux machines et surtout à leurs propriétaires.

    D’abord tout en plastique version clonée rajeuni de 20 (ou 30 ?) ans avec mèche blonde rebelle sur le front (ridicule donc), Bruce est beaucoup plus Tchoupi quand il reprend son costume de sauveur du monde, avec ses charmantes rides au coin du regard, son crâne chauve et ses yeux humides de tristesse.

    Et on se prend à rêver ou au moins à imaginer ce qu’aurait pu être ce film si un réalisateur d’envergure (Alfonso Cuaron ???) s’était attaqué aux thèmes passionnants qui ne sont ici qu’effleurer et en aurait fait un grand grand film d’anticipation !

    Reste Bruce Willis qui semble être le seul à avoir compris de quoi il s’agissait et la joue humain plus qu’humain. Grâce lui en soit rendue.

  • Michael Jackson’s This is it de Kenny Ortega ***

    Michael Jackson's This Is ItMichael Jackson's This Is It

    Ce matin en me réveillant j’ai eu envie de moonwalker et j’ai pile poil trouvé le film le plus moonwalkant qui soit. Il s’agit donc du documentaire filmé lors des préparatifs et répétitions de la tournée de Michael Jackson : 50 concerts prévus à Londres de juillet 2009 à mars 2010. « This is it » (« on y est » ou « c’est fini » ?) étant les derniers mots prononcés par The King (of Pop, parce que The King Tout Seul c'est Elvis :-)) en personne lors de la conférence de presse où il affirmait que ces concerts seraient les derniers.

    Ce film est évidemment fait pour faire pleurer les fans et à mon avis, il est impossible d’être déçu car il n’y est question que de musique et de danse sans que jamais il ne soit fait mention des sujets qui fâchent. Il est en outre le plus bel hommage dont aurait pu rêver la star, bien plus fort, enthousiasmant et émouvant que de suivre des yeux un corbillard peut-être vide !

    On y retrouve Michael Jackson incroyablement fragile et enfantin quand il n’est pas sur scène et transcendé, miraculé, aérien dès qu’il chante et danse, bien qu’il assure à plusieurs reprises devoir se préserver avant le grand jour. Danseur incomparable, chanteur à la voix pure, il avait l’intention de combler ses fans en interprétant toutes les chansons qu’ils attendaient et qui ont fait sa gloire. A les réentendre, à voir la réaction énamourée des choristes, danseurs, musiciens, techniciens ravis qui absorbent en trépignant de bonheur chacun de ses gestes, chacune des paroles alors que le King leur affirme que « ce n’est qu’un aperçu », on imagine l’exaltation béate et la ferveur des fans qui auraient eu la chance d’assister aux concerts.

    Plus qu’à un simple concert c’est à l’élaboration d’un show millimétré auquel on assiste, orchestré par un artiste toujours créatif, minutieux, perfectionniste, très musicien et curieusement très humble parfois malgré l’ambition voire la mégalomanie du projet. Très peace and love, toujours prêt à « godblesser » l’entourage, Michael Jackson délivre un message écolo car il pensait qu'il était urgent de changer notre façon de vivre pour sauver la terre. Il a en outre une façon unique de faire le signe de croix, mais aussi de se tripoter l’entre-jambes, un style inimitable pour se déplacer avec grâce et chorégraphie le moindre de ses mouvements. La voix aussi est intacte, cristalline et enchanteresse.

    Ce film hommage et témoignage est à déguster sans modération. Il ne cherche pas à être triste mais il l’est un peu quand même. Les masterpieces incontournables, intemporelles, éternelles et revisitées sont étourdissantes : le clip de « Thriller » est encore perfectionné, les 10 danseurs de « Bad » grâce à l’illusion des effets spéciaux se transforment sur scène en 1 millier, « I just can’t stop loving you » est un sublime duo avec une choriste émerveillée, « Man in the mirror », « Human nature » et d’autres encore valent leur pesant d’émotion, mais c’est peut-être « Billie Jean » dont Michael Jackson fait un pur moment  de magie et de partage avec les privilégiés présents qui risque d'emporter tous les suffrages ainsi qu'une scène magnifique où il devient le partenaire de Rita Hayworth dans "Gilda".

    J’ai cru comprendre que ce film ne resterait en salles que deux semaines.

    Et si vous y allez, restez jusqu’à l’ultime fin du générique.

  • Lucky Luke de James Huth °

    Lucky LukeLucky Luke

    Une fois encore, une fois de plus, une FOIS DE TROP, je me suis laissé berner influencer par le Robinou dont la note laissait sous-entendre la découverte d’un ersatz de western. Western qui est, comme chacun sait, ce dont mes biberons étaient remplis, ma madeleine de Proust étou étou.

    Sauf que dans ersatz de western, il y a ici surtout ersatz.

    Je ne peux crier au scandale car j’avoue que le cow-boy à la mèche, toujours à la poursuite des Dalton, qui avait un chien moche et dont « on » a retiré le clopot dans les années 80 ne m’a jamais intéressée. Sauf que là, les mecs en pyjama rayé ne sont pas là, pas plus que le ptit klébar. Avouez qu’il y a quand même de quoi crier « ôOOO scandale !!!! ».

    Par contre, on apprend pourquoi John Luke est devenu Lucky Luke : suite à un gros traumas familial bien déprimant qui a fait de Lucky l’homme le plus triste de l’ouest mais aussi celui qui tire plus vite que son ombre et surtout qui ne tue jamais. Sauf qu’il est chargé par le Président des Etats-Unis en personne de remettre de l’ordre à Daisy Town (la ville natale et du traumas) abandonnée aux hors la loi et notamment à la terreur de Pat Poker et sa bande de marlous sans foi.

    Ça commence comme un vrai western Sergio Leonien (que j’ai bien en tête, rapport à ce que je vous ai raconté…) avec une belle scène inaugurale qui expose comment un enfant heureux avec son papounet et sa maman squaw devient un poor lonesome cow-boy. Sauf que ça a beau être tourné en décors naturels (en Argentine où se trouve le grand Ouest méricain comme chacun sait), j’ai parfois eu un peu l’impression de voir une association d’accros au western qui jouaient aux cow-boys et aux indiens dans la forêt de Fontainebleau. Et puis les parents manquent considérablement un peu de personnalité et n’ont pas vraiment la trogne de l’emploi.

    Ensuite les scènes s’enchaînent permettant à plein d’acteurs connus de venir faire un tour et de manifestement bien se régaler à le faire. Mais comme il n’y a aucun scénario, aucune suite dans la succession de sketches (pas drôles… tout au plus peut on se décrocher deux sourires, pas de quoi se faire une luxation des zygos), un ennui pesant et définitif s’installe rapidement.

    Pourtant les acteurs ne déméritent pas (excepté Michaël Youn, exécrable en Billy The Kid et dont chaque apparition m’a filé une crise d’urticaire géant) et Jean Dujardin fait un Lucky plutôt pas mal (plus amoureux de son cheval que de sa Belle !). Daniel Prévost est un Pat Poker bien machiavélique, Jean-François Balmer un Cooper ambigu, Sylvie Testud une Calamity Jane tordante et secrètement amoureuse de Lucky, Alexandra Lamy ne sert à rien… mais la palme revient à Melvil Poupaud, absolument craquant en dandy intello qui a raté sa vocation.

    L’une des dernières scènes dans un Casino bandit manchot géant ne sert à rien mais elle est très belle.

    Cela dit, on s’ennuie copieux, et ça, au cinéma, j’pardonne pas !

  • Le jeu cinéma du lundi : des places de cinéma à gagner...

     Hé oui, une fois n'est pas coutume et cette semaine, grâce à Cinéfriends, je vais vous offrir deux fois deux places de cinéma.

    Il s'agit du film "Away we go" qui, compte tenu du thème ("lorsque Burt et Verona découvrent qu'ils vont être parents, ils décident de partir à la recherche de l'endroit parfait où fonder leur famille"),  de la bande-annonce et des antécédents de son réalisateur Sam Mendès ("Les noces rebelles", "Jarhead", "Les sentiers de la perdition", "American beauty") promet d'être drôle et rafraîchissant.

    Away We Go

    Pour gagner je vous demande deux choses :

    1) Sur les photos suivantes (à peine déformées, n'est-ce pas ?), il s'agit de couples de cinéma dont le réalisateur (ou la -trice) a fait travailler son ou sa chéri(e). Vous devez donc me dire de quel couple il s'agit et me donner leurs noms (il y a le numéro ET en dessous la photo...). C'est tellement simple que j'ai presque honte de vous proposer ce jeu ! Pour le jeu, c'est bon tout a été trouvé. Il reste la rédaction.

    2) Comme ce sont les vacances de la Toussaint, je vais vous demander de me faire une petite rédaction très courte (MAXIMUM 10 lignes sinon éliminé) dont voici le sujet :

    "Parlez-moi d'amour...".

    Je ne vous demande évidemment pas de me faire une déclaration d'amour mais bien de me parler de ce que représente pour vous l'amour, le vrai, le seul, l'unique. Que vous le connaissiez déjà ou pas encore.

    Les devoirs sont à rendre pour mardi au plus tard à minuit (pour les couche-tard). Ceux qui me feront le plus rire (et je ris facilement) ou qui m'émouvront le plus (et je m'émeus facilement) remporteront les places. Vous avez donc bien compris ce que ce jeu a de subjectif !

    A vos claviers. Surprenez-moi !

    Je ne peux pas dire que vous vous soyez précipités pour rendre vos rédacs. Néanmoins je suis obligée de constater que ce sont encore Zapette (pour la rédac' la plus touchante) et Frederique (pour la rédac' la plus marrante) qui ont gagné. Je leur enverrai donc deux entrées pour aller voir ce film.

    La rédac de Frederique :

    "Quant à ta dissert, tu peux te brosser dans le sens de la largeur car J'ai horreur de l'amour et J'embrasse pas !

    Ouaip parce que l'amour ça fait peur aussi :
    http://www.youtube.com/watch?v=9Nw2KnIwiFI (ah ah ah ah ah) (NDLR, vous n'êtes pas obligés de cliquer sur ce lien, c'est vraiment, vraiment horrible)
    Ah oui, et puis l'amour c'est sale !

    L'amour à un ça passe...
    L'amour à deux c'est pas mal...
    L'amour à trois ça devient intéressant...
    mais l'amour à... 300
    à l'heure...
    What a nirvana (au ralenti siouplait) !"

    La rédac de Zapette :

    "L'Amour est d'abord passion, il s'enflamme sur le bucher des sentiments. Puis, au fil du temps, il se consume, mais ne s'éteint pas, il se transforme en un brasier dont le foyer ne cesse de réchauffer les êtres qui s'y pressent autour.
    Puis il devient tendresse, synonyme de complicité, dans la continuité du feu de la passion. Gare à celui qui ne sait comment, ou qui oublie de l'alimenter car les flammes peuvent baisser, jusqu'à disparaître et laisser place aux glaces de Sibérie...
    Le véritable Amour n'a qu'un visage, quiconque le croise le reconnait à coup sûr. Mais tout le monde n'a pas cette chance, ou la laisse passer, et ce ne sont alors que petites amourettes qui s'enchaînent.
    La voie pour le trouver n'est pas ailleurs qu'à l'intérieur de soi-même..."

    1

    19.jpg

    Zhang Yimou et Gong Li - Oui Frédérique

    zhang-yimou-gong-li-21828.jpg

    2

    20.jpg

    Agnès Jaoui - Jean-Pierre Bacri - Oui Yohan

    agnes-jaoui-jean-pierre-bacri-21964.jpg
    3
    90.jpg
    Rebecca Miller- Daniel Day Lewis - Oui Mister Loup
    rebecca-miller-daniel-day-lewis-21113.jpg
    4
    21.jpg
    Andrej Zulawski et Sophie Marceau - Oui, oui Frédérique
    andrzej-zulawski-sophie-marceau-20933.jpg
    5
    33.jpg
    Tim Burton - Helena Bonham Carter - Oui, Oui Yohan
    tim-burton-helena-bonham-carter-20909.jpg
    6
    40.jpg
    Charlie Chaplin - Paulette Godard - Oui, Oui, Oui Yohan
    charlie-chaplin-paulette-goddard-21366.jpg
    7
    50.jpg
    David Lynch et Isabelle Rosselini - Oui, oui, oui Frédérique
    david-lynch-isabella-rossellini-21943.jpg
     
    8
    55.jpg
    Samuel Benchetrit - Anna Mouglalis - Oui, oui Mister Loup
    samuel-benchetrit-anna-mouglalis-21163.jpg
    9
    70.jpg
    John Cassavetes et Gena Rowland - Oui, oui, oui, oui Frederique
    john-cassavetes-gena-rowlands-20818.jpg
    10
    80.jpg
    Olivier Assayas - Maggie Cheung - Oui, oui, oui, oui Yohan
    olivier-assayas-maggie-cheung-21786.jpg
    11
    60.jpg
    Jean Cocteau et Jean Marais - Oui Dada
    jean-marais-jean-cocteau-21745.jpg
    12
    77.jpg
    Stuart Townsend - Charlize Theron - Oui, oui, oui Mister Loup
    stuart-townsend-charlize-theron-20942.jpg
  • MA SEMAINE AU CINEMA

    CÉRÉMONIE DE CLÔTURE – FESTIVAL LUMIÈRE 2009 GRAND LYON FESTIVAL CINÉMA*****

    Cliquez ICI pour lire mon compte-rendu ou ICI pour voir les photos.

    DSCF0287.JPG

    1.JPG

    AU VOLEUR de Sarah Leonor **

    19157390_jpg-r_160_214-f_jpg-q_x-20090821_052322.jpg
    19154502_jpg-r_160_214-f_jpg-q_x-20090817_115922.jpg

    MADEMOISELLE CHAMBON de Stéphane Brizé *

    19175118_jpg-r_160_214-f_jpg-q_x-20090925_070117.jpg