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kristen stewart

  • UN JOUR DANS LA VIE DE BILLY LYNN

    d'Ang Lee ***

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    Avec Joe Alwyn, Kristen Stewart, Garrett Hedlund

    Synopsis : En 2005, Billy Lynn, un jeune Texan de 19 ans, fait partie d'un régiment d'infanterie en Irak victime d'une violente attaque. Ayant survécu à l'embuscade, il est érigé en héros, ainsi que plusieurs de ses camarades. Et c'est avec ce statut qu'ils sont rapatriés aux Etats-Unis par l'administration Bush, qui désire les voir parader au pays... avant de retourner au front.

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  • CAFÉ SOCIETY de Woody Allen ***

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    Avec Jesse Eisenberg, Kristen Stewart, Steve Carell, Blake Lively

     

    New Yorkais d'origine, Bobby Dorfman tente sa chance à Hollywood où son oncle Phil est un influent et richissime agent de stars. Celui qui, entre autre a découvert Paul Muni, mais aussi déjeune avec Fred Astaire et Ginger Rogers et attend un appel de Greta Garbo...

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  • AMERICAN ULTRA de Nima Nourizadeh **(*)

    AMERICAN ULTRA de Nima Nourizadeh , cinéma, Jesse Heisenberg, Kristen Stewart, Topher Grace, cinéma

    Mike Howell partage la vie de sa petite amie Phoebe. Particulièrement immature et névrosé, et alors qu'il vient d'acheter des billets pour quelques vacances à Hawaï, il est incapable de monter dans l'avion. Phoebe essuie une larme et lui pardonne, car Phoebe pardonne tout à Mike.

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  • SILS MARIA d'Olivier Assayas **

    SILS MARIA d'Olivier Assayas, cinéma,

    Synopsis : À dix-huit ans, Maria Enders a connu le succès au théâtre en incarnant Sigrid, jeune fille ambitieuse et au charme trouble qui conduit au suicide une femme plus mûre, Helena. Vingt ans plus tard on lui propose de reprendre cette pièce, mais cette fois de l'autre côté du miroir, dans le rôle d'Helena...

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  • TWILIGHT : REVELATION 2ème Partie de Bill Condon °

    Il existe UNE photo où Kristen Stewart sourit. Je crois que c'est collector !

     

      Twilight - Chapitre 5 : Révélation 2e partie : photo Kristen Stewart, Robert PattinsonTwilight - Chapitre 5 : Révélation 2e partie : photo Bill Condon, Mackenzie Foy, Stephenie Meyer, Taylor Lautner

     

    Franchement, je ne suis pas fâchée que ça s'arrête. Je peux dire que dès le premier épisode j'ai trouvé cette saga moche à regarder et pas folichonne à suivre. Mais j'ai gardé l'espoir que ça s'arrangerait au fil du temps et l'épisode de l'année dernière où il y avait un peu de sexe chair et de sang m'avait laissé espérer un final en apothéose. Hélas, il n'en est rien et ce dernier acte étrangement nommé une fois de plus "Révélation" est catastrophique !!! Bella a accouché d'une métisse mi humaine mi vampire, un MONSTRE et l'espèce de poupée animée est hideuse et vraiment flippante. Cela ne s'arrange guère avec le temps qui passe. La petite qui fait office de Renesmée (merci le prénom !) a un visage de cire inexpressif. Bien qu'il ne se passe strictement rien, on peut aisément s'occuper à admirer ou à s'effrayer devant la galerie freak qui nous est proposée ici. Mention spéciale à Michaël Sheen au sommet du ridicule. Les visages enfarinés, les regards fixes, les bouches surdimensionnées des filles sont un spectacle permanent.

     

    Bella est donc devenue un vampire (la preuve, elle a la peau lisse et les yeux rouge) et a donné naissance dans les pires souffrances à ce bébé qui grandit à une vitesse vertigineuse et qui fait l'admiration de tous. Car tout le monde vit ensemble. Toute la famille Cullen mais Jacob le loup-garou aussi. Et tout le monde passe le plus clair de son temps groupé en paquet de deux autour du canapé où Bella et Edward se font des mamours. Pour une intimité un peu plus poussée, ils ont un petit cottage au fond du jardin où ils peuvent donner libre court à leurs plus bas instincts de fornicateurs. Il faut dire qu'ils ont patienté longtemps et Bella adore ça. Elle ne s'en lasse pas. Elle pourrait faire ça à longueur de journée. Même pas ça l'essouffle. Pourtant elle fait toujours la gueule. Son accouchement a été une terrible épreuve mais en deux jours elle est remise sur pieds et elle part avec son Edward et ils volent d'arbre en arbre et ils écoutent les écureuils grignoter des noisettes et c'est le bonheur. Bella doit juste apprendre à  maîtriser sa soif et ne pas se ruer sur le premier humain inconscient qui fait de la varape dans le coin. Sûr qu'elle va devenir végétarienne comme son Edward. C'est peut-être pour ça qu'elle fait la gueule non stop. Rarement, jamais il nous a été donné de voir une actrice Kristen Stewart donc, qui à aucun moment ne change d'expression du début à la fin d'une saga. Cette fille est exceptionnelle, le regard vitreux et la bouche tordue en une unique mimique de dégoût, elle aura traversé Twilight en faisant la gueule. Edward/Robert Pattinson n'a lui pratiquement rien à dire ici. Il ne fait que s'extasier, hilare devant les prouesses vampiriques de sa douce. On dirait qu'elle a fait ça toute sa vie. Elle peut mettre minable des mecs au bras de fer et quand on fait du mal à son mec elle peut faire bouclier vivant en faisant comme ça avec les yeux. La concentration quoi.

     

    Pendant un temps on a vraiment l'impression que tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes vampiresques. Sauf que ce puant de Jacob (il schmek le loup) qui a passé sa vie à se faire bâcher par la Bella se permet de surnommer le babe "Nessy" et là, Bella devient enragée : "gné ???" qu'elle dit, "tu as donné à ma fille le surnom du monstre du Loch'Ness ??? Nan mais ça va pas nan ? Et dis moi pas que tu t'es IMPREGNé d'elle ?". Sauf que si. Il l'a fait ! Apparremment, s'imprégner c'est pas bien et croyez le ou pas, Jacob qui s'est pris tôle sur tôle avec la mère... a décidé de se faire la fille. Amis pédophiles, bonjour ! En même temps, la petite est consentante et les parents ne sont pas hostiles. Là, on a quand même un peu tendance à écarquiller les yeux comme des soucoupes. Les parents (Bella et Ed') ça ne les défrise pas, même qu'à un moment où ça farte avec les Volturi qui ont déclaré la guerre aux Cullen (apparremment, ils ne supportent pas les êtres mi-figue mi-raisin et se sentent menacés par la Renesmée) ils lui confient leur progéniture ! Bon, je ne suis pas totalement au fait des moeurs de vampires non plus.

     

    Et puis, alors qu'il ne se passe toujours strictement rien et que les Cullen ont réuni toute leur famille de par le monde, ils se retrouvent face aux Volturi dans une grande plaine enneigée et la grande baston de tous les temps commence enfin. Et ça défouraille et bastonne dans tous les coins. Il y a même des têtes qui tombent et non des moindres... Là, le plus hostile à ce néant sans âme, sans action se réjouit et s'étonne de tant d'audace en se disant que finalement tout ce vide n'aura pas été vain.

     

    Et bien si, erreur... ce carnage, ce massacre, cette hécatombe n'était qu'un leurre. Ridicule.

     

    Une chose est sûre, la famille Cullen ne me manquera pas.

  • BLANCHE NEIGE ET LE CHASSEUR de Rupers Sanders **

    Blanche-Neige et le chasseur : photo Charlize Theron, Rupert SandersBlanche-Neige et le chasseur : photo Chris Hemsworth, Rupert SandersBlanche-Neige et le chasseur : photo Kristen Stewart, Rupert Sanders

    Une jeune et jolie Reine fragile des bronches rêvait d'avoir une fille aux lèvres rouge comme le sang, aux cheveux noir comme les ailes d'un corbeau et à la peau blanche comme la neige et patatra elle enfanta Kirsten Stewart. Son voeu le plus cher se réalisa et ainsi vint au monde Blanche-Neige. Hélas, la reine ne survécut pas à un hiver rigoureux. Le père fut inconsolable et partit guerroyer contre une armée d'étranges chevaliers  noirs et revint avec dans sa musette une reine captive dont il tomba raide dingue amoureux et qu'il plaça illico sur le trône. La nuit même des noces, la cruelle et paranoïaque Ravenna planta sa dague dans le coeur de son époux qui roucoulait dans son cou et elle s'empara du royaume. Elle jeta Blanche-Neige au fond d'un cachot et le royaume ne fut plus que l'ombre de son ombre, au point que la nature finit par s'en prendre à elle-même. Tout n'était que ruine, désolation et misère noire. Et les choses se compliquèrent davantage lorsque le miroir magique que Ravenna consulte régulièrement pour savoir qui est la plus belle, lui annonce que Blanche-Neige est devenue une bombe anatomique ! Courroux de l'usurpatrice. Elle fait mander la donzelle afin de lui signifier son fait mais le tendron réussit à s'échapper... On connaît la suite mais à partir de là, hollywood n'en fait qu'à sa tête.

    Après une nuit de cauchemar dans la sombre forêt, la Blanche se voit coursée par un chasseur sans peur et sans reproche (veuf et alcoolique) à qui la Reine a promis une récompense. Mais le fufute découvrant qu'il s'est fait berner par la cruelle s'allie à la fugitive et ensemble ils vont rencontrer un troll des forêts droit sorti du Seigneur. Alors que Thor... le chasseur est dans les vaps, Blanche démontre qu'elle peut gueuler aussi fort qu'un troll, puis elle lui parle à l'oreille. Le troll se fend d'un étrange sourire et s'en retourne tout confus chez lui. Capturés et pendus par les pieds par 7 nains bandits des forêts, le chasseur et Neige parviennent à convaincre les rase-mottes qu'ils devraient s'unir pour la bonne cause. Ils deviennent copains comme cochons. Tous ensemble, tous ensemble, ouais, ouais, ils vont lever une armée, Blanche se transforme en Jeanne d'Arc et s'en va bouter les forces du mal hors de Tabor avec ses nouveaux amis. Le royaume reconquis trouve une nouvelle Reine en la personne de Blanche-Neige qui cherche du regard  humide dans la foule son chasseur et là... on comprend qu'on est pas au bout de nos peines et que la suite ne devrait tarder à arriver car ils n'ont pas eu le temps de consommer dans cet épisode. Forcément, Blanche se croit amoureuse de son copain d'enfance alors que nous, de l'autre côté de la forêt on voit bien à l'oeil nu qu'il s'agit de la nouvelle endive d'Hollywood dont nous tairons le nom par respect pour la famille, et que le chasseur ne va pas pleurer indéfiniment sa moitié trépassée.

    Vu comme ça, je vous vois arriver. Vous allez me dire ? Pourquoi ** ? J'en sais rien. Je ne me suis pas ennuyée et je ne peux décemment mettre moins d'** à cet opus qu'à celui de Tarsem Singh qui jouait résolument la carte de la farce alors que celui-ce se prend très très au sérieux.

    Question Blanche-Neige, on n'est pas mieux servi qu'avec la fille de... car ici nous avons Kristen Stewart la boudeuse qui de film en film me convainc de moins en moins. Bouche perpétuellement retournée en une mimique de dégoût, elle entrouve parfois légèrement les lèvres pour laisser entrevoir deux dents de lapin et parfois se fend d'un étrange sourire douloureux qui se transforme rapidement en rictus de souffrance ! Finalement la voir tant souffrir à chaque film doit satisfaire mes penchants sadiques !

  • SUR LA ROUTE de Walter Salles **(*)

    • Sur la route : photo Garrett Hedlund, Sam RileySur la route : photo Sam RileySur la route : photo Sam Riley
    • A la mort de son père en 1946, Sal Paradise ne va pas bien du tout. Il a une vingtaine d'années, vit à New-York avec sa mère et rêve de devenir écrivain. Sa rencontre avec Dean Moriarty dont rien que le nom fait fantasmer va bouleverser son existence. Ainsi que le précise Jack Kerouac dès la première page de son roman, véritable manifeste de la beat generation dont le film est tiré : avec l'arrivée de Dean Moriarty commença le chapitre de ma vie qu'on pourrait baptiser "ma vie sur la route". Dean est un être à part qui séduit tout ce qui remue dans la seconde où il apparaît et se met à proférer ses sentences nihillistes. Sal est plutôt un suiveur et sa complicité mêlée d'une admiration sans limite avec Dean est instantanée. Ce mauvais garçon n'est pas peu fier d'avoir fait de la prison. Il est par ailleurs marié à une gamine délurée de 16 ans Marylou qui lui voue également un véritable culte. Lorsque Dean et Marylou quittent New-York, Sal n'a plus qu'une idée en tête, les rejoindre. Commence alors une vie d'errance à travers les Etats-Unis où les trois jeunes gens épris de liberté partagent leurs aventures.
    • Tout comme le livre, le film qui lui est très fidèle, est empreint de monotonie (ce qui ne signifie pas ennui), malgré le souhait des protagonistes de vivre à 100 à l'heure une vie sans contrainte. Cette monotonie imposée par le hasard des événements et des imprévus lui imprime son rythme. Parfois de brusques accélérations surviennent et finalement on prend la route avec ces gens d'un autre temps, surpris mais rarement émerveillés par leurs aventures qui sont loin de (me) faire rêver. Dean Moriarty n'est en fait qu'un séducteur, baratineur, d'un égoïsme délirant qui ne cherche qu'à satisfaire son plaisir personnel et fait souffrir tout son entourage. Est-ce de la naïveté ou du machiavélisme ? En tout cas, personne ne lui résiste et il parvient presque toujours à faire en sorte que les autres lui pardonnent. Il est de toute façon clair qu'il souffre lui aussi, dans sa position auto-destructrice d'éternel insatisfait. Il abandonne Marylou pour Camille avec qui il fait des enfants. Mais Dean peut-il se contenter d'une vie de famille ? Il revient vers Marylou pour la délaisser à nouveau, incapable de résister à la moindre donzelle qui passe à sa portée. Même Marylou, sexuellement très libérée finira pas se lasser des incertitudes extravagantes de sa tête brûlée.
    • S'il manque au film la sensation d'extrême solitude dans laquelle se débattaient parfois tous ces garçons et filles enivrés par leurs délires poétiques (une photo d'Arthur Rimbaud trône dans la chambre de Sal et Du côté de chez Swann ne les quitte pas), le voyage par contre est magnifique. Traverser les Etats-Unis d'Est en Ouest, à pieds, en stop, en camion ou en voiture donne forcément la possibilité de composer des plans et des images magnifiques comme des tableaux. Les arrêts au milieu de nulle part dans une station-service, les quartiers miteux de New-York ou Denver, les champs de coton dans lesquels Sal se fera un temps exploiter (il faut bien parfois un peu de monnaie), la Nouvelle-Orléans ou San Francisco dans la brume, les routes poussiéreuses sous un soleil implacable... toute la photo de ce film est sublime.
    • Le credo de cette beat generation était de défier le mode de vie conformiste de l'Amérique bien pensante. Baignés et bercés de Jazz les vagabonds célestes grillaient par les deux bouts la chandelle de leur vie qu'ils voulaient trépidante. Et cela rimait pour eux avec des nuits sans fin d'insomnie, de l'alcool, des drogues dont la benzédrine qui leur donnait la sensation d'être plus beaux, plus forts, plus intelligents, la marijuana à gogo, le sexe, l'homosexualité, la prostitution à l'occasion (étonnnante scène avec Steve Buscemi !) assortis à l'occasion d'une quête mystique... dans le plus grand sérieux et avec un manque d'humour. impressionnant. Cette recherche d'un absolu sans contrainte ni concession ressemble souvent à une descente aux enfers où le désespoir et les envies de suicide ne sont jamais bien loin. Et si les filles sont parfois consentantes, sauf cette pauvre Camille qui a cru un temps que sa normalité calmerait les ardeurs de son Dean, pour suivre les garçons qui s'estiment supérieurs, elles sont vraiment mal traitées par ces égocentriques.
    • Question casting ! Grosse erreur concernant Melle Stewart qui n'incarne pas l'aimante et pétillante Marylou. Elle est une junkie, elle roule des joints comme aucune fille avant elle et sait faire beaucoup de bien aux garçons. Mais en gros, comme toujours, menton en avant et bouche entrouverte elle fait la gueule ! Sam Riley est un peu en retrait mais très concerné, tout à son admirative amitié et concentré sur les carnets qu'il noircit et qui aboutiront à ce rouleau de 36 mètres sur lequel il écrira son chef d'oeuvre.  Et c'est Garrett Hedlund qui surprend le plus car il ne se contente pas d'être un garçon irrésistible à belle gueule, mais traîne parfaitement le spleen romantique et contagieux de Dean Moriarty entre euphorie et abattement jusqu'à une transe comme une apogée de ses délires.

  • TWILIGHT Chapitre 3 : HESITATION de David Slade **

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    Eh non, vous ne rêvez pas (attendez mercredi et l'"Inception" pour ça...) et si les deux premiers épisodes avaient eu sur moi l'effet d'une purge, ce troisième volet des més-aventures d'Edward et Bella ne m'a pas déplu. Est-ce l'effet de la chaleur, le fait que j'ai pu constater qu'en dehors de Twilight, Robert Pattinson pouvait faire l'acteur, les quelques traits d'humour qui parcourent l'épisode ou autre chose encore, toujours est-il que pour la première fois, je ne me suis pas ennuyée pendant un chapitre de la saga ?
    Pourtant les décors et les couleurs sont toujours aussi moches (sauf ceux de la ville de Seatle souvent plongée  dans la nuit et  aux prises avec d'étranges disparitions) surtout lorsqu'il s'agit des combats dans une espèce de clairière herbeuse, les effets spéciaux toujours aussi minables et l'héroïne Bella toujours aussi fade, insignifiante et qui continue d'annoner son texte en bégayant. Alors à quoi cela tient-il vraiment, je n'en sais rien mais les faits sont là !
    De quoi est-il question ? Victoria une magnifique vampirette rousse pleine de haine contre Edward qui a tué son chéri entend bien se venger en tuant Bella. Pour ce faire, elle rassemble une armée de "nouveaux-nés" (des vampires fraîchement mordus) pour aller affronter la famille Cullen qui pour l'occasion enterre la hâche de guerre d'avec la famille de Loups de Jacob ! Il faut donc protéger Bella la moldue pas encore transformée en vampire mais totalement mordue d'Edward ! Oui, Bella a choisi de devenir vampire pour passer le reste de son éternité avec son Edward qui l'a demandée en mariage. Bella est très très chaude et se frotte sur son Ed qui reste de marbre car son éducation lui recommande de ne pas faire de boogie woogie avant le mariage. Du coup Bella qui grelotte et claque des dents par une nuit enneigée qu'elle passe dans une tente au sommet d'une montagne, se réchauffe avec son Jacob de loup beaucoup plus thermotactyle comme garçon !!! C'est moche parce qu'Ed assiste à la scène. Il maîtrise sa peine et sa jalousie car il est total mainstream tolérant comme garçon, mais cette fille est plus girouette qu'une ado en pleine révolution hormonale.
    Cela reste encore pour moi la grande énigme du film d'ailleurs. Comment deux chouettes types comme l'enfariné et le musclor qui rêvent en fait d'être potes et d'appporter la paix sur la terre, peuvent-ils se battre pour une nana aussi terne et ennuyeuse que Bella ? La suite au prochain numéro. J'y serai.