Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

josh brolin

  • FLAG DAY

     de Sean Penn °

    5217009.jpg-r_1920_1080-f_jpg-q_x-xxyxx.jpg

    Avec Dylan Penn, Sean Penn, Josh Brolin, Katheryn Winnick

    John Vogel est un mari et un père aimant. Il fait tout pour que chaque moment soit unique et exceptionnel. Mais rapidement il devient un mauvais mari et un mauvais père. Il abandonne sa femme et ses deux enfants pour aller vivre sa vie de faussaire. En grandissant, sa fille Jennifer l'a idéalisé, ne supporte plus sa mère et fait tout pour renouer le lien avec l'éternel absent.

    Lire la suite

  • SICARIO

    LA GUERRE DES CARTELS

    de Stéfano Sollina **

    2216167.jpg-c_215_290_x-f_jpg-q_x-xxyxx.jpg

    Avec Benicio Del Toro, Josh Brolin, Isabela Moner
    Synopsis : Les cartels mexicains font régner la terreur à la frontière entre le Mexique et les États-Unis. Rien ni personne ne semble pouvoir les contrer. L'agent fédéral Matt Graver fait de nouveau appel au mystérieux Alejandro pour enlever la jeune Isabela Reyes, fille du baron d'un des plus gros cartels afin de déclencher une guerre fratricide entre les gangs.

    Lire la suite

  • AVE, CÉSAR de Joel et Ethan Coen ***(*)

    190172.jpgave,cesar de joel et ethan coen,cinéma,josh brolin,george clooney,alden ehrenreich scarlett johanssonave,cesar de joel et ethan coen,cinéma,josh brolin,george clooney,alden ehrenreich scarlett johansson191579.jpg

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Avec : Josh Brolin, Georges Clooney, Alden Ehrenreich, Scarlett Johansson...

    Eddie Mannix est l'homme à tout faire des prestigieux studios hollywoodiens Capitole. En d'autres termes, il est le fixer, celui qui passe d'un bureau à l'autre, d'un plateau de tournage à une cabine de projection, déjeune, répond au téléphone, tente de restaurer l'image de bonne moralité d'une actrice, sauve la réputation d'une starlette, reçoit la chroniqueuse des potins hollywoodiens et sa sœur jumelle ennemie, calme les susceptibilités religieuses et doit par dessus le marché cacher les raisons de l'absence de l'acteur principal kidnappé en plein tournage par des communistes...

    Lire la suite

  • SICARIO

    de Denis Villeneuve **

    SICARIO de Denis Villeneuve , Emily Blunt, Benicio Del Toro, Josh Brolin, cinéma

    Synopsis : La zone frontalière entre les Etats-Unis et le Mexique est devenue un territoire de non-droit. Kate, une jeune recrue idéaliste du FBI, y est enrôlée pour aider un groupe d’intervention d’élite dirigé par un agent du gouvernement dans la lutte contre le trafic de drogues. Menée par un consultant énigmatique, l'équipe se lance dans un périple clandestin, obligeant Kate à remettre en question ses convictions pour pouvoir survivre.

    Lire la suite

  • INHERENT VICE

    de Paul Thomas Anderson **

    inherent vice de paul thomas anderson,joachim phoenix,josh brolin,eric roberts,reese whitherspoon,owen wilson,cinéma

     

    Synopsis : En 1970 à Los Angeles, le détective Larry « Doc » Sportello enquête sur la mystérieuse disparition du milliardaire Mickey Wolfmann puis sur celle de son ex petite amie Shasta dont il est toujours amoureux. Il se retrouve plongé dans une sombre affaire criminelle.

    Lire la suite

  • GANGSTER SQUAD de Ruben Fleisher ***

    Gangster Squad : affiche

    En 1949, la Cité des Anges est aux mains de Michey Cohen. Ce parrain colérique et violent, ex champion de boxe, règne sur la drogue, la prostitution, les armes et cherche à étendre son pouvoir jusqu'à Chicago. La corruption de la police, de la justice et des politiques permet au mafieux de ne rencontrer aucun obstacle dans ses différents business. La ville est gangrénée jusqu'à l'os quand enfin arrive un chef de Police honnête. Il propose au Sergent John O'Hara de former une équipe qui sera chargée de mettre un terme aux affaires illégales du parrain. Par contre cette brigade n'aura aucune existence officielle et les hommes agiront sans leur insigne de policier.

    O'Hara s'entoure donc de cinq hommes parmi les plus courageux, endurcis par les années de guerre encore récentes.

    Enfin un film de cinéma ! Que c'est bon de parfois se vautrer dans son fauteuil pour voir un film certes déjà vu avec hommages à l'appui (un brin de L.A. Confidential par ci, un soupçon d'Incorruptibles par là) mais qui procure un plaisir fou sans prise de tête ni envie de se pendre en sortant de la salle. Une histoire bien racontée, de belles images, un casting rutilant, du glamour, des boîtes et des restaurants chics même s'ils accueillent les pires crapules qui soient, de la musique d'époque, de la violence (inutile), des ralentis pour accentuer la droiture inaltérable des protagonistes et les mettre en valeur... Bref du cinéma comme j'aime.

    Sean Penn en fait des tonnes, mais j'aime que les acteurs en fassent des tonnes parfois. Et puis les incorruptibles portent le borsalino à ravir. Josh Brolin pas mal du tout. Ryan Gosling même s'il doit empester le vieux cendrier est le roi de la coolitude absolue, de l'élégance et de la galanterie avec les dames. Et Emma Stone est magnifique.

    Un vrai kiff je vous dis !

  • TRUE GRIT de Joel Coen et Ethan Coen ****

    TRUE GRIT de Joel Coen et Ethan Coen, jeff bridges, matt damon, josh brolin, haylee steinfield, cinématrue grit de joel coen et ethan coen,jeff bridges,matt damon,josh brolin,haylee steinfield,cinémaTRUE GRIT de Joel Coen et Ethan Coen, jeff bridges, matt damon, josh brolin, haylee steinfield, cinémaTRUE GRIT de Joel Coen et Ethan Coen, jeff bridges, matt damon, josh brolin, haylee steinfield, cinématrue grit de joel coen et ethan coen,jeff bridges,matt damon,josh brolin,haylee steinfield,cinématrue grit de joel coen et ethan coen,jeff bridges,matt damon,josh brolin,haylee steinfield,cinémaTRUE GRIT de Joel Coen et Ethan Coen, jeff bridges, matt damon, josh brolin, haylee steinfield, cinémaTRUE GRIT de Joel Coen et Ethan Coen, jeff bridges, matt damon, josh brolin, haylee steinfield, cinématrue grit de joel coen et ethan coen,jeff bridges,matt damon,josh brolin,haylee steinfield,cinéma

    Venger son père assassiné par un coward  pour deux pièces d'or n'est pas simple dans le big west-ern de l’après guerre de Sécession, qui rappelons le cessa faute de combattants. Et puis comment être prise au sérieux quand on est une petite fille de 14 ans terrassée et indignée ? Mais Mattie Ross (magnifiquement interprétée par la petite Haylee Steinfeld qui ne manque pas de true grit)  va mettre son chagrin en veille et, consciente que la justice ne punira pas le coupable, chercher l'homme idéal qui se chargera de la sale besogne. Elle trouve en Rooster Cogburn, marshall borgne et alcoolique mais réputé pour son obstination et son taux de réussite, le vengeur parfait. Par ailleurs, elle va croiser la route du Texas Ranger LaBoeuf,  lui aussi à la poursuite de l’infâme Tom Chaney recherché dans un autre Etat pour d’autres méfaits. La motivation de LaBoeuf est la récompense conséquente promise. Les deux hommes vont s’engager en territoire indien où l’immonde Chaney s’est refugié. Ils seront vite rejoints par la fillette qu’ils avaient essayé de semer. Impressionnés par son courage et sa détermination ils vont finalement accepter qu’elle fasse partie du voyage sans pour autant la traiter avec le moindre égard. L’aventure peut commencer.
    Par manque de temps et à cause d’une petite forme je ne pourrai sans doute pas vous exprimer le quart du millième de ce que la vision de ce film m’a provoqué mais il FAUT que je vous en parle un peu avant que vous ayez choisi de voir d’autres films. J’ai l’impression que les frangins Coen (que leur maman doit être fière !!!) flirtent depuis des lurettes avec le western. Mais enfin, ici, ils y tombent pieds et poings liés et y reprennent tous les codes incontournables. Modestement ou intelligemment ou simplement en fans, ils ne cherchent pas à révolutionner la vision de l’Ouest post guerre civile, mais en offrent au contraire une vision tout à fait classique. Et gloire leur soit rendue pour ça. Pour ne pas avoir tenté de nous imposer un néo-western, essayer de nous faire croire qu’ils avaient inventé un genre alors qu’il est né pratiquement en même temps que le cinéma. Evidemment, en frères Coen qu’ils sont, ils ne situent pas leur intrigue en plein cagnard mais en hiver. Cela rend la chevauchée encore plus éprouvante mais n’atténue en rien la splendeur des paysages de la région parcourue, au contraire.

    Alors évidemment c’est l’histoire d’une gamine intelligente et cultivée qui n’a pas froid aux yeux et qui n’hésite pas un instant à affronter des hommes qui la regardent de haut, d’un œil goguenard, pour ne pas dire patelin. C’est macho à souhait, mais c’est finalement cette petite minette tenace et téméraire qui va venir à bout de sa soif de justice qui tourne à l’obsession. A un prix considérable certes mais sur son chemin initiatique, Mattie aura côtoyé deux hommes qui marqueront sa vie à tout jamais. Car dans ce film, ce n’est pas tant le résultat qui importe, mais le chemin pour y parvenir. Ce n’est pas tant la vengeance qui intéresse et stimule le spectateur mais la façon dont elle est menée. Pas tant l’intrigue qui captive que la rencontre entre les personnages. L’essentiel n’est pas pourquoi ils sont ensemble mais qu’ils soient ensemble. C’est tout. Et c’est beau !

    La tension et les rebondissements ne font pas obstacle à une certaine nonchalance toujours bienvenue dans un western je trouve. Comme si le temps était différent dans le grand ouest. Les personnages prennent toujours le temps d’installer un campement de fortune, de dormir à la belle étoile (images somptueuses de nuit !) autour d’un feu de camp à « déguster » du maïs bouilli. C’est quand il ne se passe rien que tout se joue, que les liens se resserrent, que les regards et les attentions s’expriment. L’aisance et la confiance en soi de la petite, son insouciance, son ignorance du danger sont toujours en décalage avec l’immaturité des hommes souvent en compétition. Face à elle, à sa fraîcheur, sa jeunesse et sa franchise, il y a donc ce marshal borgne qui se fait sans doute plus vieux qu’il n’est (et Jeff Bridges avec sa voix râpeuse y va très très fort) toujours totalement imbibé d’alcool jusqu’au fond des yeux, et LaBoeuf (Matt Damon, une fois de plus extraordinaire !) Texas Ranger un peu précieux aux éperons à grelots décoré comme un cow-boy d’opérette. Et là encore, les Coen ne cède pas à la facilité d’une pseudo relation pères de substitution/fille, même si dans une scène somptueuse le vieux Cogburn lui portera secours.

    Et malgré l’humour qui est évidemment le petit cadeau supplémentaire, la conclusion pleine de mélancolie voire de tristesse laisse le westernien tout morose. Pour être totalement impartiale je révèlerai néanmoins deux petites déceptions à mon emballement. Le film met un peu de temps à démarrer. Sans doute étais-je trop pressée de voir l’improbable trio prendre la piste vers le territoire indien où s’est réfugié l’affreux. Et inversement la fin, trop abrupte nous prive de façon expéditive des trois personnages avec qui j’aurais bien continué encore le chemin jusqu’à d’indispensables retrouvailles…

  • MA SEMAINE AU CINEMA

    Pour retrouver mes avis, cliquez sur le titre des films.

    YOU WILL MEET A TALL DARK STRANGER de Woody Allen ****

    19489294.jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20100805_043600.jpg

    LAISSE MOI ENTRER de Matt Reeves **

    (pas eu le temps et le courage de faire l'article mais c'est pas mal du tout...)

    19178055_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20091002_110538.jpg

    SANS QUEUE NI TÊTE de Jeanne Labrune **

    19517835_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20100929_045614.jpg

    TOUT VA BIEN, THE KIDS ARE ALL RIGHT de Lisa Chodolenko *

    19497067_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20100820_060902.jpg

    AO, LE DERNIER NEANDERTAL de Jacques Malaterre °°

    19445640_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20100510_012753.jpg

    MES COUPS DE COEUR

    isabelle_huppert.jpgjulianne-moore-091608-450p.jpgMark_Ruffalo_450711.jpg 

  • YOU WILL MEET A TALL DARK STRANGER de Woody Allen ****

    19421423.jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20100415_042950 (1).jpg

    19500914.jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20100901_105810.jpg

    19500919.jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20100901_105821.jpg

    C'est à Londres que se situent les aventures à la fois quotidiennes, ordinaires et extraordinaires de 8 personnages dont les destinées vont se croiser,  converger ou s'éloigner. Un septuagénaire se réveille un matin terrifié à l’idée de mourir bientôt. Il quitte sa femme vieillissante pour une bimbo blonde et sans cervelle alors qu’une « cartomancienne » prédit à la délaissée qu’elle va rencontrer un sombre et bel inconnu… La fille de ce vieux couple perd les pédales, amoureuse de son patron qui ne la remarque pas, alors que son mari, écrivain raté se met à lorgner sur la fenêtre de l’appartement d’en face où une jolie fille en rouge, pas loin de convoler, joue de la guitare… 

    Des histoires de couples, d'amour, de sexe, de désir, d'ambition, de déceptions... des erreurs, des quiproquos, des malentendus, des infidélités, des injustices. Beaucoup d'incertitudes, de tergiversations, de lâcheté, de cruauté. Le tout enrobé, pimenté, entortillé, noyé dans un flot de paroles fiévreuses mais toujours d'une justesse et d'une utilité incontestables. Oui, les personnages de Woody parlent beaucoup. Ils s'expliquent, se justifient. C'est rythmé, nerveux, vigoureux, pétillant avec toujours, au bord de l'éclat de rire, cette inquiétude propre au petit bonhomme assez génial qu'est ce grand réalisateur. Dans cette frénésie de dialogues, de rebondissements en tout genre dont un ABSOLUMENT GENIAL, véritable pirouette inattendue qui concerne Josh Brolin l'écrivain et un de ses amis victime d'un accident... et cet autre où un mari (Josh Brolin encore) emménage chez une splendeur (la sublime Freida Pinto) qu'il a longuement observée depuis la fenêtre de son appartement et qui se retrouve à observer la femme qu'il a quittée (Naomi Watts) depuis son nouvel appartement. En un plan vraiment astucieux et magistral, sans effet ni parole cette fois, il nous démontre la bêtise des hommes (en tant qu'humanité) qui s'obstinent toujours à imaginer, que l’herbe verte ou la vraie vie est ailleurs... 

    Ce film lumineux, plein de drames, de folie, de douceur et d'humour est un grand grand cru qui m'a rappelé l'époque bénie des "Annie Hall" et "Manhattan", pas moins. C'est totalement euphorisant de voir qu'un réalisateur de cette trempe et de cet âge puisse encore innover tout en imprimant son incontestable et tellement reconnaissable virtuosité. Et beaucoup d'allégresse aussi, de délicatesse pour démasquer les failles et fêlures humaines et nous démontrer la vanité, la fragilité des illusions, des apparences. 

    Quant à la direction d'acteurs, elle est à l'image du reste, virtuose et irréprochable. Woody tire le meilleur de cette toute nouvelle troupe d'acteurs qui se montrent tous à la hauteur de l'honneur et du bonheur de travailler avec lui. L'inconnue Lucy Punch, véritable fantasme ambulant, tout en jambes, en cheveux, en minceur qui a comme son nom l'indique beaucoup de vigueur et de vitalité est LA révélation irrésistible de cette histoire pleine de bruit et de fureur, "much ado about nothing", "très dramatique et très comique", (comme nous le disait Woody en personne et en français en juillet dernier où il a fait l’ouverture du Festival Paris Cinéma) où il est également question de réincarnation et de vies antérieures... Mais grâce soit encore rendue à Woody de permettre à Anthony Hopkins de redevenir le merveilleux acteur qu'il a su être, sans excès ni cabotinage. 

    La musique qui accompagne, dès le générique, est comme toujours un régal permanent...

    Mon seul regret est que Woody s'estime désormais trop vieux pour s'accorder des rôles dans ses propres films. Mais sinon, bravo, bravo et encore bravo et une standing ovation !

     

    Si vous ne l'aviez pas vue en juillet, voici la petite vidéo que j'avait faite de Woody à la soirée.