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benicio del toro

  • SICARIO

    LA GUERRE DES CARTELS

    de Stéfano Sollina **

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    Avec Benicio Del Toro, Josh Brolin, Isabela Moner
    Synopsis : Les cartels mexicains font régner la terreur à la frontière entre le Mexique et les États-Unis. Rien ni personne ne semble pouvoir les contrer. L'agent fédéral Matt Graver fait de nouveau appel au mystérieux Alejandro pour enlever la jeune Isabela Reyes, fille du baron d'un des plus gros cartels afin de déclencher une guerre fratricide entre les gangs.

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  • A PERFECT DAY, UN JOUR COMME UN AUTRE de Fernando León de Aranoa ****

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    Avec : Benicio del Toro, Mélanie Thierry, Tim Robbins, Olga Kurylenko, Fedja Stukan

     

    Synopsis : Un groupe d’humanitaires est en mission dans une zone en guerre : Sophie, nouvelle recrue, veut absolument aider ; Mambru, désabusé, veut juste rentrer chez lui ; Katya, voulait Mambru ; Damir veut que le conflit se termine ; et B ne sait pas ce qu'il veut.

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  • SICARIO

    de Denis Villeneuve **

    SICARIO de Denis Villeneuve , Emily Blunt, Benicio Del Toro, Josh Brolin, cinéma

    Synopsis : La zone frontalière entre les Etats-Unis et le Mexique est devenue un territoire de non-droit. Kate, une jeune recrue idéaliste du FBI, y est enrôlée pour aider un groupe d’intervention d’élite dirigé par un agent du gouvernement dans la lutte contre le trafic de drogues. Menée par un consultant énigmatique, l'équipe se lance dans un périple clandestin, obligeant Kate à remettre en question ses convictions pour pouvoir survivre.

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  • SAVAGES de Oliver Stone *

    Savages : photo Aaron Taylor-Johnson, Taylor Kitsch

    Savages : photo Benicio Del Toro

    Savages : photo John Travolta

    Ben et Chon sont amis depuis toujours. A la fin de ses études de botanistes, Ben s'est consacré à la culture du cannabis (le meilleur de Californie, Yo !) et Chon l'a rejoint après être allé casser du taliban et de l'irakien en Afghanistan et en Irak. Les deux dealers sont à la tête d'une petite entreprise très lucrative et se donnent bonne conscience en prétendant que leur business est thérapeutique. La preuve, ils sont "couverts" par un agent des stups dont la femme en phase terminale de cancer utilise leur super ganja. Une pauvre petite poupée riche et blonde qui dit oui à tout et répond au doux nom de O (comme Ophélie, la meuf bi-polaire d'Hamlet), vit avec les deux garçons. Ils sont les deux parties d'un grand tout, complémentaires et nécessaires à son bonheur. D'un côté son Bouddha, Ben le non violent avec un bandeau dans sa tignasse bouclée et de l'autre son Ninja, Chon le guerrier  avec des tatouages plein partout et le brushing ras ! Les trois chérubins s'aiment d'amour et fument des oinj entre deux parties de jambes en l'air. Chon baise et Ben fait l'amour... à l'écran on pige pas immédiatement la différence !

    Mais Patatra, la vilaine Elena, à la tête du Cartel mexicain de Baja s'intéresse au business juteux des deux lascars et leur fait une offre qu'ils ne peuvent pas refuser.

    Sauf qu'ils refusent.

    Courroux de l'Elena qui fait enlever O, la prunelle des deux minots et l'enferme sous l'oeil torve du bien barré Lado, expert en tortures, viols et autres joyeusetés. C'est dire si la pauvre O, complètement accro à la fumette et au luxe va être en manque de toute une série de choses ! Mais ses deux chéris vont rassembler leur savoir-faire et mettre tout ce qu'ils ont de cerveau disponible pour venir lui porter secours. C'est la guerre, du style "ils sont 100, nous sommes deux !!! Encerclons-les !"

    Je ne vous fais pas un crobard. Pendant deux heures c'est sexe un peu, drogue beaucoup, violence à la folie et peu de rock'n'roll et on se fout à peu près de tout ce qui se passe à l'écran, tant c'est couillon. Mais néanmoins, pas une seconde d'ennui dans ce machin survolté qui se la pète, grave ! Avec une pincée de Tueurs Nés et une autre de Platoon, Papy Stone démontre qu'il est encore et toujours un bon "faiseur" qui ne lésine pas sur les moyens pour faire flamber l'écran. Son casting trois étoiles fait le reste, même si Taylor Kitsch peut dès lors et sans rougir entrer dans le club Butler/Worthington/Statham ! Chacun vient cachetonner et faire son grand numéro de cabot qui essaie de garder la couette pour lui tout seul. Le trio Salma Hayek, Benicio Del Toro, John Travolta s'en donne à coeur joie dans des rôles de tarés XXL et c'est un régal.

    Sinon, ben sinon rien ! Et Oliver Stone se paie le luxe de rater complètement sa deuxième fin. Oui encore un film à plusieurs fins, c'est pas moi qui les invente !!! La première avait pas mal de gueule alors que la seconde, sirupeuse à souhait tend à prouver que les réalisateurs, avec l'âge deviennent vraiment trop sentimentaux.

  • MA SEMAINE AU CINEMA

    LA VIDA LOCA de Christian Poveda***

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    HORS DE CONTRÔLE de Martin Campbell**

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    VALENTINE'S DAY de Garry Marshall*

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    LE MAC de Pascal Bourdiaux*

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    WOLFMAN de Joe Johnston °°

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    MES COUPS DE ET AU COEUR
    Todd Phillips
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  • Che – 2ème partie : Guerilla ***

    Che - 2ème partie : Guerilla - Benicio Del ToroChe - 2ème partie : Guerilla - Benicio Del Toro

    Alors qu’Ernesto Che Guevarra est au sommet de sa gloire, il disparaît, renonçant au poste de ministre de Fidel Castro. Comme il l’avait projeté, il souhaite étendre la révolution cubaine à toute l’Amérique Latine. On le retrouve donc, incognito, en Bolivie tentant désespérément de réunir une armée de guérilleros comme il l’avait fait à Cuba…

    Comme le dit très justement Rob Gordon : « c’est beau. Mais c’est chiant. Mais c’est beau ». Et surtout qu’est-ce que c’est bien !!! Ce second volet retrace l’échec total du Che en Bolivie. Encore tout auréolé de son prestige et de son rayonnement jusqu’aux moindres recoins du monde, nous vivons ici la lente descente aux enfers voire la déchéance d’un héros. La dernière année du Che fut effectivement un long et douloureux calvaire qui transparaît à l’écran de manière saisissante et parfois poignante. De plus en plus handicapé par d’épouvantables crises d’asthme (ce nigaud avait oublié sa Ventoline…) et par ses origines argentines, considéré comme un étranger, il ne sera jamais rejoint que par une poignée d’hommes. Hirsutes, faméliques et malades, pourchassés au fond de la jungle par l’armée bolivienne armée jusqu’aux dents, ils n’obtiendront pas le soutien de la population, misérable au-delà de la pauvreté.

    Soumis et entravé au fond de sa dernière geôle, il gardera jusqu’au bout de l’épuisement la foi en la seule chose en laquelle il ait jamais cru : l’homme. Jusqu’à cette scène sublime où le soldat chargé de garder le précieux prisonnier sympathisera momentanément avec la légende vivante. Le jeune homme, comme s'il était incapable de résister au « pouvoir » et au charisme du « commandante » sortira presque affolé en disant «je ne veux plus entrer là-dedans ».

    Vraie ou pas vraie l’histoire du Che vue par Soderbergh ? Franchement je m’en contrefiche (oui Matthieu, je m’en fiche !), en tout cas ce film choc m’a mise KO et puis comme disait John Ford :

    « Si la légende est plus belle que l’histoire, imprimez la légende »,

    c’est fait !

    P.S. : Benicio Del Toro est irréprochable !