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  • Une arnaque presque parfaite (The Brothers Bloom) de Rian Johnson ***

     Adrien Brody, Rachel Weisz, Rian Johnson dans Une arnaque presque parfaite (Photo) Adrien Brody, Rachel Weisz, Rian Johnson dans Une arnaque presque parfaite (Photo) Adrien Brody, Mark Ruffalo, Rachel Weisz, Rian Johnson dans Une arnaque presque parfaite (Photo)

    Bloom et Stephen deux orphelins inséparables depuis l’enfance organisent et mettent en scène de petits mensonges qui deviendront de petites puis de grandes arnaques. Une japonaise un peu muette, beaucoup barjot et spécialiste en nitroglycérine et autres matières explosives rejoindra le duo.

    Quant à Penelope, ravissante petite fille riche triste qui s’ennuie, censée être la victime de leur dernière escroquerie, elle va s’avérer être encore plus siphonnée que le trio réuni.

    C’est l’été et je ne vais pas bouder mon plaisir en insistant sur les quelques temps morts de cette réjouissante pochade branquignole. Evidemment Rian Johnson ne nous étourdit plus à la façon de son enivrant « Brick » mais il nous fait rire beaucoup et nous malmène encore intelligemment tant et si bien que parfois on ne sait plus qui arnaque qui. Par ailleurs, il nous fait voyager et donne l’envie soudaine de prendre un billet pour Prague. Comme dans un « James Bond », on voyage beaucoup et ce qui compte n’est pas tant l’arnaque en elle-même (pas toujours limpide pour un esprit simple… je n’ai pas dit simple d’esprit…) que la façon dont elle est préparée et véritablement mise en scène. Car pour parvenir à leurs fins les escrocs vont jusqu’à engager des acteurs-figurants chargés de crédibiliser l’affaire et la rendre plus réaliste.

    Evidemment, ce ne serait pas si drôle et si vraisemblable si tout marchait toujours sur des roulettes et si nous ne doutions pas parfois et successivement de la loyauté de chacun des protagonistes.

    Marc Ruffalo semble manquer un peu de la fantaisie nécessaire à son personnage (l’acteur qui joue son rôle enfant est beaucoup plus crédible). Par contre Adrien Brody délicieusement décalé et romantique insuffle tant de naïveté et d’innocence à son personnage qu’il en est (une fois de plus) complètement craquant .

    Quant à l’exquise  Rachel Weisz, radieuse et déchaînée (la voir exécuter la démonstration de tous ses talents est irrésistible), elle prouve qu’on peut être belle, drôle et convaincante. Elle s’amuse comme une folle et nous ravit de sa gaieté communicative.

    Une comédie pétillante à savourer les doigts de pieds en évantail.

  • Soie de François Girard °°

    au printemps :

     Keira Knightley, Michael Pitt, François Girard dans Soie (Photo)

    en hiver :

     

     Keira Knightley, Michael Pitt, François Girard dans Soie (Photo)

    Pas facile de faire de la soie en France au XIXème : tous les élevages de vers sont pourris contaminés par une étrange maladie. Hervé (mouarf) Joncour, officier pas bien motivé, mari pas trop fougueux non plus de la belle Hélène, est envoyé à travers le monde (Inde, Afrique puis Japon) par l’industriel Baldabiou pour trouver et surtout rapporter des œufs en forme.

    Le truc c’est qu’il ne faut pas qu’ils éclosent avant d’arriver et la route est longue Santi-a-a-nooo, l’autre truc c’est que le Japon est interdit aux étrangers, et le dernier truc c’est que le Hervé, parti des mois à travers monts et marées a bien du mal à résister à la nippone belle et alanguie ; donc

    WARNING – DANGER – ACHTUNG

    à tous les rayons.

    Donc, le Hervé, il part, il revient, il re-part, il re-re-vient, il essaie de faire un moutard à Hélène et patin couffin pendant longtemps et puis un jour il revient !

    Bon, le livre, je l’ai lu. Il était beau, très beau même, merci.

     

    Mais le film là…

    En fait, je n’ai que trois mots à vous dire (mais je vous en dirai plus quand même) :

    Fuyez pauvres fous !

    Le gars, il traverse plein de contrées désertiques, dangereuses, ingrates, merveilleuses et qu’est-ce qu’on voit ??? Un type à pieds, à cheval, en voiture, en train… qui somnole en parcourant le monde. Quand il rentre, il dit : « c’était beau ».

    Ah oui, y’a une voix off qui nous raconte ce qu’on voit mais en même temps c’est pas une voix off comme d’habitude parce que c’est une voix off qui ment. Par exemple, parfois le gars est avec sa femme (Keira Knightley, transparente) et la voix off qui ment (ououou la menteu-seu !!!) elle dit : « c’était les plus beaux jours de ma vie » et qu’est-ce qu’on voit ? Un type qui se fait chier copieux avec une meuf qui a l’air de se dire « il a l’air de se faire chier copieux mon mec !!! ».

    Un jour, au Japon y’a une meuf tout en kimono qui lui fait la cérémonie du thé au ralenti, et à partir de là, il en peut plus le mec. Sauf que, ciel couvert, c’est la meuf du chef, çui qui vend des vers à soie en bon uniforme. Alors warning again !

    Je ne sais pas si j’ai cligné des yeux ou quoi, mais à un moment, les japs elles sont deux (dont une qui est chinoise mais ce serait trop long à raconter) et j’ai vraiment l’impression qu’il n’a pas couché avec la bonne. Pas la bonniche hein, non, la bonne dans le sens, celle dont il est fol in love depuis qu’elle lui a fait le thé en 33 tours.

    De toute façon, c’est le genre de type, qu’il baise ou qu’il baise pas, il est toujours aussi triste et aussi il fait pleurer les filles.

    Bref, c’est un film où tout le monde est malheureux et le spectateur consterné. Pour une soirée diapos, pas la peine d’aller au ciné.

    Brad Michaël Pitt fait ce qu’il peut pour donner un chouya d’intensité à ce film creux et la pauvre Keira, une fois de plus ne peut rien faire pour un rôle vide, mais le tirelipompom sur le chiwawa (passez moi l'expression) revient quand même à l’actrice japonaise ou chinoise (on s’en cogne) maniérée et emberlificotée dans une pseudo sensualité glacée de pacotille à la noix qui m’a JUSTE donner envie de la noyer jusqu'à ce que mort s'en suive après lui avoir fichu deux baffes histoire qu’elle accélère un peu…

  • Sherry Baby de Laurie Collyer **(*)

     Maggie Gyllenhaal, Laurie Collyer dans Sherrybaby (Photo) Maggie Gyllenhaal, Ryan Simpkins, Laurie Collyer dans Sherrybaby (Photo)

    Ancienne toxicomane, Sherry sort de trois ans de prison complètement « clean ». Logée dans un foyer et placée sous contrôle judiciaire, elle va tout faire pour récupérer sa petite fille qui a été élevée par son frère et sa belle-sœur pendant son absence. Les retrouvailles entre la mère et la petite se passent au mieux, chacune étant ravie de retrouver l’autre. On sent pourtant immédiatement que tout ne peut pas se passer aussi simplement. Le frère de Sherry, gros nounours très gentil mais un peu faiblard et sa femme se sont énormément attachés à la petite et ne considèrent pas que Sherry soit déjà capable de s’occuper de l’enfant. Ils vont de leur côté tout faire assez insidieusement en manipulant la petite pour qu'elle s’éloigne de sa mère.

    L’une des nombreuses qualités du film est que la réalisatrice ne fait pas de Sherry une fille parfaite qui se serait amendée, transformée en prison. Certes, elle a payé sa dette et bien que rien ne nous précise quelle femme elle était avant ces trois années, en dehors de sa toxicomanie, elle s’est manifestement endurcie et rien ne la fera reculer pour obtenir la garde de sa fille. Rien, pas même consentir à passer sous le bureau d’un fonctionnaire libidineux qui pourrait lui obtenur un hypothétique emploi par exemple.

    Il faut dire que le (très beau) corps de Sherry est tantôt son atout, tantôt son pire ennemi. Les manques créés par trois ans d’enfermement en font parfois une proie facile et malgré son apparente solidité elle réalise aussi qu’il suffirait de peu de choses pour qu’elle « replonge » si tout ne passe pas au mieux pour elle.

    Et tout ne se passera pas au mieux, c’est le moins que l’on puisse dire ! On se demande d’ailleurs pourquoi certains réalisateurs, et c’est le cas ici, s’acharnent parfois à ce point sur leur personnage ? Etait-il indispensable qu’en plus de tout ce qu’elle a résoudre, Sherry ait un père qui soit une telle ordure et que son frère se détourne hypocritement de cette réalité ?

    Le film ne cède cependant pas au misérabilisme même s’il est parfois éprouvant de suivre les épreuves de Sherry et il est évident que l’actrice Maggie Gyllenhaal, de pratiquement tous les plans, superbe, volontaire, décomplexée, forte et fragile est l’atout indiscutable et éclatant de ce film dur et sensible.

  • Little New York de James de Monaco °°

     Vincent D'Onofrio, James De Monaco dans Little New York (Photo)

    TIRE ! Bon sang, mais TIIIIIIIIIIIRE !!!!

     

     

     Ethan Hawke, Seymour Cassel, James De Monaco dans Little New York (Photo)

     

    C’est l’histoire de Staten Island, quartier oublié de New-York qui “regarde” Manhattan…

    Non, c’est l’histoire de Parmie Tarzo, petit chefaillon violent d’une mafia locale qui rêve de devenir un gros ponte. Il aime beaucoup sa maman qui s’est fait trouer le caisson par des voyous, que même il n’aura de repos que quand il aura retrouvé les coupables. Il aime bien taper sur les gens, dire des gros mots et se plonger dans l’eau sans respirer pendant 7 minutes, mais c’est pas assez, le record c’est 9 minutes. Il finit sur une branche dans un arbre et il tousse…

    Non, c’est l’histoire de Sully, vidangeur de fosses septiques qui a du mal, même après trois douches à s’ôter les odeurs de caca de sur lui et qui veut bien faire un moutard à sa femme à condition qu’il ait le cerveau d’Einstein. C’est pas gagné rapport à ses losers de parents…

    Non, c’est l’histoire de Jasper, vieil employé sourd et muet (oui je sais, ça fait mal... mais il n'est pas aveugle) dans une épicerie-boucherie qui a l’air drôlement gentil, mais qui aime bien jouer du couteau dans l’arrière boutique car comme disait ma grand-mère « faut se méfier de l’eau qui dort »…

    Le réalisateur se donne un mal de chien pour faire que ces trois personnages qui n’ont l’air de rien avoir en commun, finissent par communier. Alors il ne nous raconte rien, ou pas grand chose mais il le fait TROIS FOIS.

    Comment ça, vous l’avez déjà vu ???

    Mais non.

    En tout cas c’est long, trois fois quand on y pense.

    Qu’est-ce que je dis moi ?

    Excusez-moi, je délire un peu.

    C’est la chaleur, tout ça

    Le film met à peu près trois quart d’heure avant de démarrer et quand on se dit qu’il va enfin se passer quelque chose, il  sombre de nouveau dans l’abîme vide du néant absolu au bout de cinq minutes.

    Je dirais bien que ce film est une connerie monumentale mais je suis polie, alors je dirai que je n’ai rien compris.

    Mais RIEN de rien, que dalle, nada, nikto !

    Pas d’action, pas d’intérêt… je me suis même surprise, indulgente que je suis, à chercher un deuxième degré, voire plus dans ce bousin pathétique… Mais non, des clous, ça se prend très très au sérieux et on a beau gratter la pellicule jusqu’à l’os, il n’y a pas l’ombre d’un humour qui aurait été le bienvenu et aurait PEUT-ÊTRE sauvé ce qui était sauvable.

    Les acteurs ?

    Ah oui, les acteurs.

    Saigneur, Jésus, Marie, Joseph, l’Âne et le Bœuf… !!! ???

    Pitoyables, lamentables, catastrophiques, hagards, ils ont franchement l'air de se demander ce qu'ils font là… eux aussi !

    Non, je ne cite pas de nom, il me reste de la morale.

    Ce film ?

    Une calamité !

     

    Vous avez déjà vu un réalisateur en costume cravate vous ?

    Non ?

    Moi, si :

     James De Monaco dans Little New York (Photo)

  • Joueuse de Caroline Bottaro ***

     Sandrine Bonnaire, Caroline Bottaro dans Joueuse (Photo) Kevin Kline, Sandrine Bonnaire, Caroline Bottaro dans Joueuse (Photo) Francis Renaud, Caroline Bottaro dans Joueuse (Photo)

    Hélène est dévouée. A son mari Ange, à sa fille de 15 ans Lisa, à sa patronne Maria. Elle est femme de chambre dans un hôtel d’un petit village de Corse et pour arrondir les fins de mois de sa modeste famille, elle fait le ménage chez le professeur Krüger, un être énigmatique, solitaire et bougon.

    Pour Hélène la question du bonheur ne se pose pas. Comme un brave petit soldat digne et loyal, elle mène sa vie, accomplit ses taches quotidiennement, monotonement sans état d’âme, sans amertume avec un sens quasi instinctif du devoir et des responsabilités. Jusqu’au jour où elle aperçoit derrière un voilage, sur la terrasse d’une chambre dont elle est en train de faire le ménage, un couple amoureux qui joue aux échecs.

    Séduite et fascinée par l’attitude épanouie de la jeune femme (Jennifer Beals, rayonnante) qui gagne la partie, Hélène va tenter d’en savoir plus sur ce jeu inconnu qui l’intrigue. Elle tentera d’abord d’initier son mari qui renoncera rapidement devant la complexité des règles puis après avoir découvert un jeu d’échecs chez le mystérieux Professeur Krüger, elle demandera à ce dernier de lui apprendre à jouer.

    Quelle surprise, pour cette femme simple, réservée, introvertie, l’opposée d’une « working girl » battante, parfaite et ambitieuse de découvrir peu à peu que sa « condition » n’est pas un obstacle au rêve et à son accomplissement !

    L’intérêt pour le jeu va rapidement se transformer en passion qui ne sera pas destructrice mais au contraire élèvera Hélène au lieu de l’abattre. Elle n’assumera pas d’abord cet envol inattendu, vers une forme nouvelle de dignité, de confiance en elle qu’elle ignorait jusque là.

    Son entourage déconcerté commencera par se moquer, mais la nouvelle Hélène tiendra bon et acceptera d’être incomprise, rejetée, reniée. Stupéfaite et étourdie de maîtriser un jeu dont la pièce maîtresse est une femme, la Reine, elle franchira toutes les étapes lui permettant de transcender sa condition sociale et parvenir à être une femme qui dit « non ».

    Mais c’est en douceur, sans prosélytisme, avec beaucoup de finesse, d’élégance, de subtilité et une grande économie de mots que Caroline Bottaro fait de son personnage une héroïne tout en choisissant l’optimisme.

    Les affrontements/face à face/vis-à-vis/tête à tête de Sandrine Bonnaire et Kevin Kline sont les points forts de la mutation de cette chenille en papillon. L’acteur a le charme inné du monolithe de séduction… ça ne veut rien dire, mais je me comprends : il n’a pas besoin d’en faire des tonnes pour être beau et attirant.

    Quant à Sandrine Bonnaire, elle reste de toute évidence l’une des actrices les plus naturelles qui soit. Malgré une apparence frêle elle a, jusque dans sa démarche la force brute de cette « femme du peuple » qui se révèle. Fragile mais énergique et déterminée, elle peut aussi, comme toujours et dans la même scène passer de l’expression la plus butée ou de l’inquiétude totale au sourire le plus désarmant. Toujours imprévisible et magnifique, elle met dans chacun de ses regards interrogateurs, ainsi que lui fait remarquer le professeur Krüger, une intensité telle qu'on croit que sa vie dépend de la réponse.

    Je n’oublie pas Francis Renaud dans le rôle d’Ange, le mari qui apporte toute la tension, l’ambiguïté qu’on lui connaît. Par crainte du jugement des autres, il résistera d’abord au changement de sa femme qu’il ne reconnaît plus. Cet acteur TROP RARE, subtil et mystérieux est absolument magnifique.

    C’est donc bien aussi pour les comédiens, sublimes, qu’il faut voir ce beau film ensoleillé.

  • Les acteurs et les actrices

    arborent parfois d'étranges et/ou étonnants compléments capillaires.

    Saurez-vous les reconnaître ?

    Donnez-moi le nom de l'acteur ou trice et le titre du film. Merci. Certains sont très simples, pour vous motiver...

    Vous êtes très forts !

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    CHRISTOPHE LAMBERT - VERCINGETORIX
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    II

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    BEYONCE -
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    III

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    CLOVIS CORNILLAC - BRICE DE NICE
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    IV

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    MICHELLE PFEIFFER - HAIRSRPAY
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    V
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    CAMERON DIAZ - MARY A TOUT PRIX
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    VI

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    Je n'exige pas le nom du Cheval !
    COLIN FAREL - BUCEPHALE - ALEXANDRE
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    VII

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    ADRIEN BRODY - LE VILLAGE
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    si ça peut aider, quand il n'est pas coiffé comme un d'sous d'bras, IL ressemble à ça
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    VIII

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    CAMERON DIAZ - DANS LA TETE DE JOHN MALKOVICH
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    IX

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    DEMI MOORE - LES AMANTS DU NOUVEAU MONDE
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    X

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    MERYL STREEP - LE DIABLE S'HABILLE EN PRADA
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    XI

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    NICOLAS CAGE -
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    XII

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    ROBERT DE NIRO (au temps où il était acteur) - TAXI DRIVER
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    XIII

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    UMA THURMAN - BATMAN et ROBIN
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  • Classement Wikio Cinéma

    SOUS VOS APPLAUDISSEMENTS

    Je viens de découvrir en faisant l'une de mes visites quotidiennes à Rob Gordon qui a toujours raison (même quand il a tort) , et alors même que le classement n'est pas encore officiellement paru, que "Sur la route du cinéma" a fait un bond de 5 places  dans le classement Wikio des blogs cinéma !

    Merci donc à tous pour votre fidélité toujours, vos encouragements souvent et cette passion commune que nous partageons pour le cinéma.

    En "gras", vous pouvez découvrir mes blogs cinéma préférés qui méritent mieux que le détour... le voyage !

    1 Lyricis Web Info
    2 Sur la route du cinema
    3 FilmGeek
    4 Into the screen
    5 Le blog de Dasola
    6 Rob Gordon a toujours raison
    7 Le journal cinéma du Dr Orlof
    8 IN THE MOOD FOR CINEMA
    9 Vodkaster Le Blog
    10 Tadah ! Blog
    11 Cinefeed
    12 In the mood for Cannes
    13 Laterna Magica
    14 Inisfree
    15 Nightswimming
    16 CinéBlogywood
    17 365 jours ouvrables
    18 Wildgrounds
    19 L. aime le cinéma
    20 Fenêtres sur cour


    Classement par Wikio.

  • La camara oscura de Maria Victoria Menis **

     Maria Victoria Menis dans La Camara Oscura (Photo)

    En 1892, Gertrudis naît sur un bateau qui amène des immigrants juifs en Argentine. Déçue d’avoir une fille, la mère rejette l’enfant qu’elle trouvera toujours laide au point de la cacher sur les photos de famille. Le physique de Gertrudis ne va pas s’arranger avec le temps (pour vous donner une idée, imaginez un corps de fille avec la tête de Jean Reno : aiuuuuutooooo !).

    Ses parents vont la marier à un riche propriétaire local, ravi d’épouser une femme laide qui ne pourra le tromper. Toute sa vie, elle lui servira de bonne à tout faire, même des enfants qui seront tout aussi indifférents à leur mère que le reste de la terre.

    Depuis l’enfance, Gertrudis cultive sa richesse intérieure et se réfugie dans la lecture de contes, de poésies, plante des fleurs, se promène nonchalamment en soupirant...

    Jusqu’au jour où son mari reçoit pour quelques jours un photographe qui devra réaliser des clichés de la famille et des travaux au champ. Gertrudis est en admiration devant les récits de ce français qui a parcouru le monde avec son appareil photos…

    Voilà typiquement le genre de film beau et chiant. Et même très beau. Mais à part nous dire que la beauté cachée des laids se trouve à l’intérieur qu’y a-t-il ? Nada.

    Cela dit, on peut facilement se laisser happer par la douceur grisante de l’ensemble, admirer chaque plan qui mériterait qu’on s’y attarde et peut-être (comme moi) se laisser cueillir par une fin aussi exquise qu’inattendue qui rattrape la torpeur dans laquelle on aurait pu se laisser emporter.

    Un film délicat. Ce n'est déjà pas si mal.

  • Un acteur, un personnage !

    Vous aviez aimé ce jeu. Dites-moi quel est l'acteur et quel personnage il interprète.

    I

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    JOHNNY CASH / JOAQUIN PHOENIX
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    II

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    JEAN MICHEL BASQUIAT / JEFFREY WRIGHT
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    III

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    CHE GUEVARA / BENICIO DEL TORO
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    IV

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    COLUCHE / FRANçOIS-XAVIER DEMAISON
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    V

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    MALCOLM X/DENZEL WASHINGTON
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    VI

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    SERGE GAINSBOURG / ERIC ELMOSMINO
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    VII

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    GEORGE BUSH / JOSH BROLIN
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    VIII

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    JACQUES MESRINE / VINCENT CASSEL
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    IX

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    IAN CURTIS / SAM RILEY
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    X

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    JIM MORRISSON / VAL KILMER
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    XI

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    BOB DYLAN / CATE BLANCHETT
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    XII

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    RICHARD NIXON / ANTHONY HOPKINS
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