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natalie portman

  • MA VIE AVEC JOHN. F. DONOVAN

    de Xavier Dolan **

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    Avec Kit Harrington, Jacob Tremblay, Susan Sarandon, Natalie Portman, Kathie Bates, Thandie Newton

    Synopsis : Dix ans après la mort d’une vedette de la télévision américaine, un jeune acteur se remémore la correspondance jadis entretenue avec cet homme, de même que l’impact que ces lettres ont eu sur leurs vies respectives. 

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  • JACKIE

    de Pablo Larrain ***

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    Avec : Natalie Portman, Peter Sarsgaard, Greta Gerwig

    Synopsis : 22 Novembre 1963 : John F. Kennedy, 35ème président des États-Unis, vient d’être assassiné à Dallas. Confrontée à la violence de son deuil, sa veuve, Jacqueline Bouvier Kennedy, First Lady admirée pour son élégance et sa culture, tente d’en surmonter le traumatisme, décidée à mettre en lumière l’héritage politique du président et à célébrer l’homme qu’il fut.

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  • PLANETARIUM

    de Rebecca Zlotowsky **

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    Avec Natalie Portman, Lily Rose Depp, Emmanuel Salinger, David Bennent, Louis Garrel, Pierre Salvadori

    Synopsis : Paris, fin des années 30.
    Kate et Laura Barlow, deux jeunes mediums américaines, finissent leur tournée mondiale.

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  • THOR de Kenneth Branagh ***

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    Plein d'années avant J.C. Thor fils d'Odin (Père de toute chose excusez du peu) est un guerrier asgardien sur le point d'hériter du trône de son papounet vieillissant. Jane est scientifique sur terre, précisément au Nouveau-Mexique en l'an 2011 de notre ère et aimerait bien trouver le pont d'Einstein-Rosen en mirant de près des aurores boréales.

    Comment vont-ils se rencontrer et roucouler tendrement ? Vous le saurez en allant voir Thor The Advenger (chapître II) mais en attendant il vous faut faire connaissance sans plus tarder avec Thor le guerrier, garçon à la fois très impétueux et d'une douceur inouïe. Son frère Loki et son papa Odin (donc) voudraient bien réussir à calmer ses ardeurs guerrières, mais ce mariole ne peut s'empêcher de faire le malin et déclenche une guerre contre les vilains géants de glace. Excédé par l'ardeur et la désobéissance de son fils, Odin le bannit.

    Thor a des super pouvoirs et surtout un super marteau qui peut faire très très mal. Mais en l'envoyant sur Terre (la punition ultime) son papa n'oublie pas à la fois de lui confisquer le marteau ET les super pouvoirs et le plante en plein désert (le marteau) en précisant "que celui qui sera digne de le posséder réussise à l'extraire de la pierre" ou un truc comme ça, un peu comme la mythique Excalibur d'Arthur immobilisée dans un rocher.

    Thor tombe sur Terre et percute la camionnette de Jane venue en plein désert admirer d'étranges phénomènes météorologiques. C'est LA rencontre... mais Thor n'est pas un garçon facile qui couche au premier rencard !

    La première fois que j'ai vu la bande-annonce de ce film, je me suis pensé "quelle daubasse ça va être !", la deuxième fois, idem... sauf que là j'ai vu que le réalisateur était Kenneth Branagh et même si j'ai illico pensé "quel rapport ?" je me suis également dit que j'irais sûrement voir le film. Oui. Parce que Kenneth et moi c'est une grande et belle histoire. D'amour, évidemment. Lorsqu'il est venu présenter sa prestigieuse, prodigieuse et merveilleuse "Flûte enchantée" à la Mostra de Venise, j'y étais. Et Kenneth, je l'aime, depuis la nuit des temps, et plus précisément depuis "Dead again". Un film de Kenneth Branah ne PEUT donc JAMAIS être mauvais, même s'il s'agit des aventures d'un musclor sans cerveau. Me suis-je dit, donc.

    J'avais tort et j'avais raison. Un film de Kenneeeeeeeeeeeeth ne PEUT JAMAIS être mauvais MAIS ici, non seulement musclor a des muscles (c'est le minimum), mais il a aussi un coeur ET un cerveau, et de bonnes manières. Et cerise sur le tirelipimpom, l'acteur Chris Hemsworth n'a pas oublié d'en être un et ne se contente pas d'être un super héros désincarné. Très bonnes nouvelles donc.

    Chez Kenneth tout est bon, même la 3D, vraiment pas indispensable mais pas désagréable. Les décors de la planète Asgard sont beaux, les batailles inspirées de celles du Seigneur des Anneaux (LA référence) suffisamment dosées pour ne pas lasser, les personnages annexes sont évidemment limités à un seul trait de caractère et on reconnaît vite fait à ses sourcils qui est le très vilain mais le super héros qui perd son gros marteau est suffisamment subtil, décalé lorsqu'il débarque sur terre avec ses bonnes manières envers les filles et le coup de poing facile contre les garçons, mais pas ballot pour un sou. Ce qui fait qu'on s'intéresse fort et sans jamais bâiller à ses aventures.

    Mon Kenneth s'applique donc très consciencieusement à la tache et s'en sort avec bien plus que les honneurs et les félicitations du jury en nous présentant torse nu ce nouveau venu au cinéma mais issu de la prolifique maison d'Editions Marvel. Il y imprime sa patte et son humour et ne néglige pas ses acteurs dont Natalie Portman charmante petite chose de 40 kilos face au colosse Chris Hemsworth. Il aura sans doute désormais fort à faire pour se débarrasser de son armure mais déploie des atouts dont les bovins Statham, Butler, Worthington (si j'en oublie merci de me le signaler !) sont dépourvus et se montre suffisamment drôle et futé malgré d'improbables narines pour qu'on s'y attache.
    Regardez comme ce garçon est attachant :

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    A suivre...

  • SEX FRIENDS de Ivan Reitman **

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    Oui je sais ce que vous allez me dire. Mais détrompez-vous. D'accord ça a commencé hyper méga supra mal et j'ai failli fuir à plusieur reprises dans le premier quart d'heure. Adam et Emma ont 15 ans et sont en colo, hyper coinçouilles et timides les minots. Pendant que tout le monde danse, eux ils font des simagrées genre jivati jivatipa, même pas ils se regardent. Et Adam se lance "et si je te mettais un doigt ?". Là, j'ai levé les yeux au ciel en pensant "oulalalalalalala !!!". 10 ans plus tard. Adam participe activement à une mégateuf pyjama party, alcool en perfusion et tutti frutti. A peu près TOUT ce que je déteste dans le genre on-peut-pas-s'amuser-sans-se-foutre-minable. Sur le short d'une fille y'a écrit "whore". J'ai failli hurler et partir. Mais je suis restée. Y'avait longtemps que j'avais pas vu une comédie sentimentale américaine et j'en avais envie. Ne pas penser et m'assurer que le cahier des charges du genre était toujours le même et bien respecté. Il ne manque aucune balise, je suis rassurée. Emma se pointe à la soirée en grenouillère et reconnaît Adam qui n'a pas changé et ils sont super contents de se revoir...

    Sur le mode "Quand Harry rencontre Sally", les années passent et Emma et Adam seront chaque fois un peu plus ravis de se retrouver comme par le hasard qui fait si bien les choses quand il veut bien s'en donner la peine. Ils sont les seuls, enfin surtout Emma comme il se doit, à ne pas savoir qu'ils sont faits l'un pour l'autre et qu'ils vont finir dans le même plumard à baldaquin à effeuiller les carottes rapées. En attendant, Emma qui ne veut pas s'engager parce que ça lui fait trop peur et que de toute façon elle est interne et c'est du taf, propose à Adam qui baise super bien (elle l'a testé un jour vite fait en passant et ça lui a fait grand bien) de devenir son sex friend. Il dit "oui oui oui oui oui" et ça signifie qu'elle peut le siffler à toute heure du jour et de la nuit, à condition qu'il soit parti avant le ptit déj", qu'il ne roucoule pas, qu'il n'offre pas de cadeau, qu'il ne tombe pas amoureux... Donc, vous l'avez compris, qu'il fasse exactement le contraire de ce qu'il a envie de faire et qu'il va faire ! Là, vous pensez que j'aurais dû prendre mes jambes à mon cou et me tirer vite fait. D'autant que non content d'avoir mis tous les ingrédients sus cités, ce vieux grigou de Reitman a aussi affublé les deux tourtereaux des incontournables amis relous de chez relous aux casseroles plus lourdingues les unes que les autres sans qui la comédie romantique ne serait pas ce qu'elle est (ce qui pour moi restera un mystère inélucidable...). Et dieu sait -me demande ce qu'il vient foutre ici celui-là- que les trentenaires immatures qui vivent encore en coloc' me tapent sur le haricot ! Cela dit, merci Ivan, il n'y a pas le rigolo de service, obèse et libidineux. Le seul gros de l'affaire est efféminé et se prend pour une fille, ça change !

    Bref, en un mot comme en cent, après un démarrage laborieux où j'avais les mâchoires serrées, les ongles plantés dans les bras du fauteuil et où je me surprenais à penser (moi qui ne suis pas médisante pour un sou) que la toute petite tête d'Asthon Kutcher plantée sur son interminable corps flasque et son improbable coupe de cheveux putafrange étaient vraiment bien rigolotes... il s'est soudainement... plus exactement, progressivement, sournoisement, insidieusement passé cette chose étrange et merveilleuse : je me suis sentie peu à peu me décrisper totalement, me lover nonchalamment dans le fauteuil, accrocher un sourire niais à ma face jusque là dubitative pour finalement prendre un plaisir insensé et vraiment bienvenu aux heurs et malheurs des deux tourtereaux dont on ne doute pas un instant qu'ils vont finir la bague au doigt, la corde au cou et tutti chianti... mais l'important n'est pas là en fait. Il est sans doute dans le charme quasi affolant de ses deux interprètes qui ont en charge de nous faire gober deux heures durant qu'ils ne s'aperçoivent pas qu'ils sont le yin et le yang d'une seule entité, la lune et le soleil, le roux et le combaluzier, les deux bouts d'une même banane ! Petit à petit, tous les rôles secondaires insignifiants et inutiles disparaissent et cèdent l'écran à Natalie et Ashton, Emma et Adam... et on y croit parce que Natalie/Emma même en grande emmerderesse hésitante et indécise a des yeux jaune et un sourire craquants qui feraient fondre la banquise et qu'Ashton/Adam malgré un physique improbable est tout à fait délicieux, jamais macho, tendre, absolument adorable. Ils affichent une telle complicité, un tel bonheur de jouer les amoureux dans une jolie comédie ensoleillée que leur joie de vivre est finalement communicative.

    Alors oui, j'ai aimé et j'en suis la première surprise et j'adore certaines répliques de Natalie/Emma. Exemple, lorsqu'une copine lui dit qu'elle a tort d'hésiter et qu'Ashton/Adam est fait pour elle, elle lui répond : "non mais t'as vu comme il est grand ? Quand on est l'un près de l'autre, on croirait qu'il va me kidnapper !". Moi, ça me fait glousser.

  • BLACK SWAN de Darren Aronofsky *

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    Nina est danseuse au New York City Ballet. Son objectif à atteindre est simple : la perfection. Et pour y arriver elle sacrifie tout à la danse, jusqu'à y laisser son âme, négliger sa vie, sa santé et sans doute y perdre la raison. Elle est bien aidée dans sa quête obsessionnelle par une mère envahissante, abusivement et faussement tendre. Ex danseuse qui a dû renoncer à sa carrière lorsqu'elle était enceinte, elle reporte sur sa fille tout le poids de ses échecs et de ses regrets. Nina est enfermée dans son rôle de petite fille. Son univers se limite à sa chambre rose remplie de peluches qui portent des tutus. Elle possède une boîte à musique qui joue le lac des cygnes et je vous laisse deviner quelle est la sonnerie de son téléphone portable qui ne lui sert qu'à joindre sa mère ! Lorsqu'elle n'est pas dans sa chambre musée, Nina s'entraîne jusqu'à épuisement, jusqu'à la blessure sur ses pointes, ces prodigieux instruments de torture.

    Le chorégraphe Thomas Leroy cherche sa nouvelle Reine des Cygnes pour une adaptation révolutionnaire du fameux ballet de Tchaichovsky. Nina a toutes les qualités du cygne blanc, pur et sage. Mais sa façon de danser consciencieuse et appliquée la tient très éloignée de toute émotion et des caractéristiques qui lui permettraient d'être également le cygne noir. En poussant Nina au-delà de ses limites, Thomas va tenter de lui faire exprimer le côté obscur de la force qui se cache en elle. Dans le même temps, Lilly une nouvelle venue semble posséder les aptitudes requises pour interpréter cette face sombre.

    Quel étrange étoilage me direz-vous ? C'est que Natalie n'a plus à chercher la perfection depuis longtemps. Elle l'a en elle. Dans ce film elle est extraordinaire mais elle est bien la seule. Alors pour elle : ****

    Par contre, Vincent Cassel et Barbara Hershey (qui m'a rappelé fréquemment la mère de Carrie de Brian de Palma !) dans les rôles respectifs du chorégraphe et de la mère surjouent jusqu'au ridicule et comme des diablotins les tortionnaires. Quant à Mila Kunis, je l'ai trouvée tout simplement insignifiante. Mais ce que Natalie Portman donne dans le dernier quart d'heure est tout simplement prodigieux. Ce dernier quart d'heure est d'ailleurs le seul du film qui m'ait sortie de l'étrange torpeur dans laquelle il m'a rapidement plongée. Tout est téléphoné et terriblement appuyé. Les jeux de miroirs ne cessent de nous rappeler que Nina est en train de sombrer dans la schizophrénie. Le blanc et le noir s'opposent constamment. Franchement, suffit-il de s'habiller en blanc pour être une pure créature ? Suffit-il d'arborer un énorme tatouage noir dans le dos et d'être parfaitement libérée avec les garçons pour jouer la sensualité ? Les symboles m'ont semblé un peu léger (ou lourd, c'est selon) et les scènes de ballet (et pardon à Natalie qui a paraît-il sué sang et eau) d'une platitude sans nom. J'ai trouvé les couleurs fades et l'ensemble relativement sinistre. Les aspects gores de ce "thriller horrifique" font leur petit effet et j'ai bien du mal à me sortir de la tête l'épluchage des doigts de Nina... mais ça va passer.

    Il faut que j'arrête d'attendre trop des films que tout le monde encense, c'est fatigant, décevant. Deux films que j'attendais avec une impatience démesurée, deux grandes déceptions. En deux jours, c'est trop qu'il n'en faut. Heureusement, j'ai vu "Rien à déclarer"...

  • MA SEMAINE AU CINEMA

    I LOVE YOU PHILLIP MORRIS de Glenn Ficarra et John Requa ****

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  • BROTHERS de Jim Sheridan **

    Brothers

    Brothers

    Sam et Tommy sont frères. Sam fait la fierté de son père puisque comme lui il est militaire. Tommy quant à lui sort de prison et est la honte de la famille, surtout du père qui était militaire. Pourtant les deux frères s’aiment, car oui, il peut arriver que des frères s’aiment !

    Lors d’une mission en Afghanistan l’hélicoptère dans lequel se trouve Sam est abattu par des talibans et il est considéré comme mort. Tommy va se charger de consoler Grace la femme de son frère ainsi que ses deux petites filles.

    Bravo à Jim Sheridan pour son beau casting de très beaux et bons acteurs. Les superbes Jake Gyllenhaal, Tobey Maguire et Natalie Portman sont très agréables à regarder et à voir pleurer, sourire, revivre, souffrir, péter les plombs etc... Ils prennent de la bouteille et peuvent jouer aux papas et à la maman de façon crédible. D’autant qu’ils ont devant eux deux petites actrices miniatures absolument craquantes, surtout Bailee Madison qui ferait fondre un iceberg. Mais bon, si les scènes en Afghanistan sont un peu flippantes, mais pas trop, celles aux Etats-Unis idéales (tout le monde trouve toujours le mot exact au moment précis ! j’en rêve) juste ce qu’il faut, tout ceci laisse un arrière goût de pas abouti.

    Il manque l’émotion car ce qui arrive à ces gens est absolument insoutenable mais franchement, le vilain délinquant alcoolo qui se retrouve soutien de famille, refait la cuisine du sol au plafond, devient le père idéal pour les deux petites orphelines (il fait du patin à glace et fabrique un bonhomme de neige), la femme parfaite qui résiste à son beau-frère… Tout est trop, too much et trop beau et pas assez. Oui je sais c’est confus.

    Lorsque Sam revient, eh non, il n’est pas mort, bien perturbé par ce qu’il a vu, voire traumatisé à cause d'une chose pas jolie-jolie qu’il a faite, tout ne s’arrange pas facilement. Les œillades, les regards, les sous-entendus, les non dits pleuvent en abondance.  

    Grace a-t-elle couché avec Tommy ? Sam va-t-il reconquérir Grace ? Est-ce que la guerre en Afghanistan c’est comme la guerre du Vietnam ? Est-ce que papa aime pareillement ses deux garçons alors que l’un n’est pas un héros et l’autre un héros surestimé ?

    En gros, on s’en fiche un peu, mais on ne s’ennuie pas parce que les acteurs sont jolis et pas mauvais du tout, et que la petite Bailee Madison déchire le cœur… C’est déjà pas mal mais ce n’est pas assez.