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Sur la Route du Cinéma - Page 447

  • Des places de cinéma à gagner pour "CRACKS" de Jordan Scott

    Mathieu de Studio Canal me donne la possibilité de vous offrir 5 X 2 places pour le premier film de Jordan Scott (fille de Ridley) avec la merveilleuse Eva Green (fille de Marlène Jobert)

    qui sortira le 30 décembre :

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     Les règles du jeu :

    1) trouvez LE TITRE EXACT D'UN FILM dont j'ai extrait un morceau d'affiche,

    2) donnez votre réponse ICI dans les commentaires (si votre message ne s'affiche pas immédiatement comme cela arrive parfois... il me parviendra avec son heure d'arrivée donc, je saurai qui a donné la bonne réponse en premier),

    3) ne donnez qu'un titre dont vous êtes absolument certains, car je n'accepterai qu'UNE SEULE BONNE RÉPONSE à la fois par personne (même si vous en donnez deux qui sont bonnes, je ne les accepterai pas, UNE c'est UNE...). Par contre, si et seulement si (pas avant) je vous ai dit dans les commentaires que votre réponse est fausse, vous pouvez retenter votre chance en faisant une autre proposition (et toujours une seule à la fois),

    4) lorsque j'aurai annoncé le nom des gagnants (PAS AVANT), ils pourront me donner leur adresse à uupascale@gmail.com pour que les places leur parviennent.

    5) lorsque les 5 gagnants auront été révélés, vous pourrez continuer à trouver les réponses restantes.

    Et hop, les cinq gagnants sont : Fabian (ton adresse s'il te plaît !), Fred, Ed, Marion et Jordane. Les places ne peuvent parvenir que la semaine où le film sort, donc ne vous impatientez pas :-) et bravo.

    A VOUS DE JOUER !

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    BEIGNETS DE TOMATES VERTES - F
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    BOYS DON'T CRY - Jordane
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    LES PREDATEURS - marion
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    TOUT SUR MA MERE - F
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    WHEN NIGHT IS FALLING - Ed
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    MONSTER - Fabian
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    HEAVENLY CREATURES - F
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    BOUND - Marion
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    JEUNES FILLES EN UNIFORME - F
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    LA RUMEUR - F
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    Synopsis : Dans un pensionnat pour jeunes filles retiré du monde, Di et ses amies s'adonnent à des jeux fantaisistes, insolents et parfois cruels, encouragées par leur professeur de plongée, Miss G, qu'elles idolâtrent.
    Miss G est une très belle femme, charismatique, cultivée, et pleine de surprises. Elle fait rêver en leur contant ses nombreux voyages exotiques et ses liaisons passionnées.
    Fiamma, une nouvelle élève arrivée d'Italie, vient bousculer le quotidien des jeunes filles et provoquer à son insu leur jalousie. Cette belle aristocrate, éprise de liberté, captive entièrement l'attention de Miss G au grand désarroi de Di et sa bande. Pourtant, lorsque Miss G tente de gagner les faveurs de Fiamma, à la fois fascinée et attirée par elle, celle-ci la rejette.
    Miss G perd alors le contrôle et enclenche une série d'événements tragiques qui fera perdre leur innocence aux jeunes filles.

  • MA SEMAINE AU CINEMA ET MES COUPS DE COEURS

    LE PERE DE MES ENFANTS de Mia Hansen-Love****

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    QU'UN SEUL TIENNE ET LES AUTRES SUIVRONT de Léa Fehner****

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    MES COUPS DE COEUR
    Qu'un seul tienne et les autres suivront
    Qu'un seul tienne et les autres suivrontQu'un seul tienne et les autres suivrontQu'un seul tienne et les autres suivrontLe Père de mes enfants19195105_jpg-r_760_x-f_jpg-q_x-20091106_031613.jpgLe Père de mes enfantsArthur et la vengeance de Maltazard
  • Max et les Maximonstres de Spike Jonze °°°

    Max et les maximonstresMax et les maximonstres

    Je crois que j’ai trouvé mon navet de l’année.

    Je pensais pourtant que ça se jouerait entre « LOL » et « Ma vie pour la tienne »… et non, ce Max et ses monstres les coiffent au poteau, haut la patte !

    Je crois même qu’on tient là, après le premier film du troisième millénaire, le premier film maniaco-dépressif. Est-il destiné aux enfants suicidaires ? Aux adultes dépressifs (donc, d'ex enfants suicidaires qui ne seraient pas passés à l'acte) ? Je ne sais à qui réellement le conseiller !

    Je vous l’avoue tout de suite, je n’ai pas tenu jusqu’à la fin… oui je sais, c’est LE mal mais c’était tellement colossalement insupportable que j’ai failli arracher mon siège pour le balancer dans l’écran. J’ai préféré sortir : et -15°, ça calme, je dirai même, ça détend. De toute façon, savoir si les aventures de Max se terminent de façon absolument bouleversante ou angoissante ou par une jolie fin sirupeuse (la famille c’est drôlement bien) pleine d’embrassades et de grande réconciliation sous le gui à se dire qu’on s’aime, ne m’intéresse pas le moins du monde.

    Max est donc un petit garçon… quoique, petit… c’est sûr c’est un enfant, mais il a au moins 10 ans quand même qui joue avec des peluches dans sa chambre. La scène d’ouverture fait très peur. Hurlant et cavalant à la poursuite d’un chien dans un hideux costume de chat (paraît-il) à travers la maison, Max est bien seul car personne ne le comprend. Sa grande sœur ne veut pas voir le merveilleux igloo qu’il a confectionné. Pire, ses affreux copains le détruisent. Et la mère de Max, pas mieux. Elle est tout sourire mielleux et « chéri chéri » mais davantage préoccupée par son boulot qu’elle ne doit pas perdre et son petit ami, aussi !

    Alors Max ne va pas bien. Il crie, il hurle, il détruit la chambre de sa sœur, « Oh Max, qu’est-ce que tu as fait là ? » dit la mère en réparant les dégâts, il monte sur la table de cuisine avec ses chaussures comme on fait d'habitude (en hurlant), « oh Max, descends de là ! » dit la mère contrariée… Il descend, hurle et… mord sa mère qui dit « aïe, Max, ça fait mal ??? ». Max se vexe et se sauve ("comment ???? je mords ma mère et elle n'apprécie pas ??"). La mère court en criant « Max, Max, tu es vraiment ingérable !!! »… puis s’arrête de courir. Normal toujours.

    Jusque là, je patiente sagement malgré la consternation qui s’est abattue sur moi comme un tsunami à contempler ce mini-monstre, sa mère, sa soeur, le ptit copain etc, convaincue que l’arrivée des nounours va améliorer le bouzin…

    Rien à faire, lorsque Max arrive dans l’île magique peuplée de bestioles toutes plus laides, hideuses, horribles, mal foutues… les unes que les autres, c’est encore pire. Et à partir de là les scènes d’euphorie succèdent aux scènes d’abattement et de désespoir dans un sinistre fatras sans queue ni tête.

    Mais cette teigne de Max trouve vraiment chez les maxi l’univers grisouille et verdâtre fait pour lui car ce qu’il cherche avant tout n’est pas d’être aimé, de se faire aimer, reconnaître ou apprécier… non ce que veut Max c’est être le chef. Ça tombe bien, les peluches manquent un peu de cohésion et le proclament roi, ce qui lui convient donc tout à fait. Max va pouvoir enfin dire « fais ci, fais ça » et être écouté.

    Je suppose que tout ne se déroulera pas aussi facilement jusqu’à la fin car il y a des rebelles, de fortes têtes parmi les monsters qui vont bien découvrir que Max est un imposteur incompétent. Mais je m’en fiche.

    Bref, Max tête à claques par excellence est parmi les siens, des têtes à claques encore plus exaspérantes qui passent leur temps à casser, à se battre, à abattre des arbres, à se faire des blagues pas drôles, à balancer des pierres sur des oiseaux en affirmant « ils aiment bien », et j’en passe !

    J’en passe parce que comme je vous le disais, je ne suis pas allée au bout. J’aurais pu, j’aurais dû, je n’avais plus qu’une demi-heure à tenir. Mais c’était au-delà de mes forces, j’avais déjà l’impression d’être restée 15 jours dans la salle avec obligation de regarder comme ça :

    Car je l’avoue aussi, l’univers des Maxi et du Mini est laid, affreux, tout est d’une mochitude absolue, la forêt, les arbres, le désert…

    Voilà, parents, si vous souhaitez montrer à vos enfants comment devenir un parfait abruti en une heure et demi, allez voir cette chose venue d’un autre monde, sans âme, sans émotion, sans magie, sans poésie mais parfaitement bien dans l’air du temps : l’enfance, les adultes, le monde, la vie, les êtres, tout va mal, tout fout le camp, pas de passé, no future, on va tous crever, le soleil s’éteint…

  • LE PÈRE DE MES ENFANTS de Mia Hansen-Love ****

    Le Père de mes enfantsLe Père de mes enfants

     

    Grégoire Canvel passe une grande partie de sa vie au téléphone, à répondre à tous partout où il se trouve, quand il marche, quand il mange, quand il conduit. Il est producteur de cinéma. Il a un sixième sens mais aussi une qualité inappréciable : il aime le cinéma passionnément et s’en fait une très haute opinion. Il reçoit les scénaristes, lit ce qu’ils ont écrit, se bat seul contre tous pour financer le film d’un réalisateur aux exigences astronomiques et caprices démesurés. Il console éventuellement un acteur qui se sent mal sur un tournage. Bref, en plus d’être un passionné, hyperactif et charismatique, c’est un type bien.

     

     

    Chez lui, c’est la famille Ricorée, en mieux : une femme aimante, trois filles merveilleuses, une grande maison à la campagne, un superbe appartement à Paris. Il est un père attentif amoureux fou de ses filles, d’une complicité admirable avec sa femme qui l’écoute et le comprend.

     

     

    Hélas, pour parvenir à faire aboutir des projets exigeants, différents, du « cinéma d’auteur » non formaté, Grégoire prend de gros risques financiers jusqu’à hypotéquer sa société, son « catalogue » de films, ses biens propres.

     

     

    Lorsque les ennuis deviennent insurmontables, que les banquiers ne suivent plus, que l’Urssaf et les huissiers sont à ses portes, Grégoire perd totalement pied. Le mot « échec » résonne dans sa tête comme la pire honte. Le désespoir s’abat sur lui comme un cataclysme. Il se suicide.

     

     

    Stupeur de l’entourage professionnel et familial qui n’a rien vu venir et qui va devoir assumer les dettes, tenter de sauver ce qu’il y a à sauver et se reconstruire.

     

     

    Rarement on a l’occasion de voir à l’écran un acteur instantanément charismatique s’emparer aussi littéralement et de façon si convaincante d’un rôle et d’un film tout entier (car son absence ne cessera de hanter et de nous manquer). Louis Do de Lencquesaing est cet acteur magnétique au pouvoir de séduction XXL qui disparaît en plein milieu de l’histoire mais qui aura marqué à jamais les autres personnages et les spectateurs. Loin de l’image cliché du producteur à lunettes noires ou gros cigare derrière un bureau tape à l’œil, Grégoire est un passionné qui se bat pour le cinéma, à l’écart du glamour. Pour ce personnage, Mia Hansen-Love ne cache pas s’être largement inspiré d’Humbert Balsan, producteur français précieux qui s’est donné la mort en 2005 et qui est à l’origine de découvertes indispensables telles que « Y’aura-t-il de la neige à Noël ? » de Sandrine Veysset, « le Destin » de Youssef Chahine ou encore « Quand la mer monte » de Yolande Moreau. Raviver la mémoire de cet homme irremplaçable n’est pas le seul atout du doux, tendre et merveilleux film de la réalisatrice. Il permet de mettre en lumière un métier méconnu qui semble vraiment acrobatique et passionnant. Mais pas seulement.

     

     

    Comme dans son premier film, l’admirable et délicat « Tout est pardonné », Mia Hansen-Love parle de la famille, de l’enfance, de ce qui construit, détruit ou aide à avancer. Elle pose des questions sans y répondre, sans pathos, sans agitation. Que sait-on des gens qu’on aime et qui partagent notre vie ? Comment peut-on passer à côté d’un tel désespoir sans le voir, alors qu'ici Grégoire sème de petits indices… ? Comment continuer à vivre sans ou avec la culpabilité ? Comment l’éviter ou la surmonter ?

     

     

    Elle élude intelligemment les scènes à fort pouvoir lacrymal comme l’annonce de la mort ou l’enterrement. Elle se concentre sur le chagrin que chacun combat avec ses moyens, sur la vie qui continue malgré tout, les filles qui continuent à grandir pour se diriger vers leur vie d'adultes, malgré cette perte douloureuse, ce manque profond que rien ni personne ne comblera jamais.

     

     

    Louis Do de Lencquesaing est Grégoire, convaincant, bouleversant, déchirant mais le reste du casting dans son ensemble, jusqu’aux trois petites filles, est idéal et formidable et prouve que Mia Hansen-Love, en plus de savoir raconter des histoires avec intelligence et profondeur est une exceptionnelle directrice d’acteurs.

  • Arthur et la vengeance de Maltazard de Luc Besson *

    Arthur et la vengeance de MaltazardArthur et la vengeance de MaltazardArthur et la vengeance de Maltazard

    Arthur vit toujours parmi les humains, disons plutôt parmi des adultes inadaptés, mais peut parfois retourner au pays des Minimoys retrouver sa princesse Sélénia qui l'attend en languissant. A la date prévue et avec la complicité de son grand-père, de sa mère et de sa grand-mère il va traverser le passage secret pour retrouver ses amis. C'est précisément ce jour que choisit son père (le plus humain des humains...) pour rentrer en ville et Arthur est bien obligé de se plier à sa volonté. Mais il reçoit un appel au secours : les minimoys sont en danger. Il va donc braver les interdits et affronter de multiples dangers pour les secourir.

    Il y a du bon et du (beaucoup) moins bon dans cette deuxième aventure. J'avais beaucoup aimé la première car il y avait la surprise de découvrir un nouvel univers et de nouveaux personnages, Luc Besson prenait son temps pour installer son histoire et c'était vraiment bon. Cette fois évidemment l'effet de surprise ne peut plus jouer. Mais là où Luc  exagère c'est qu'il n'a fait de ce film qu'un épisode de transition, qu'il nous congédie brusquement par un "à suivre" alors qu'il n'a même pas fini de nous raconter cet épisode. Bien sûr, on ne doute pas que les Minimoys laissés sur place vont s'en sortir et que le vilain Maltazard ne va pas être à la fête sur terre... mais franchement, il ne se passe pas grand chose ici. On attend un semblant de scénario qui n'arrive jamais. Les séquences s'enchaînent. Il faut attendre un temps infini avant de retrouver Sélénia, une vraie bombe absolument craquante, et j'ai toujours envie de fiche des claques à Mia Farrow.

    Par contre, c'est très beau, enfin, moi j'adore, la symphonie et l'explosion de couleurs, la lune la nuit, les bestioles qui font pas peur (je déteste les insectes IRL), et surtout Sélénia. Donc j'irai sans doute voir la suite mais franchement comme disait ma grand-mère "quand y'a d'l'abus, y'a d'l'excès".

    Quant à l'incontournable Freddie Highmore on se demande comment il va pouvoir poursuivre l'aventure car il grandit le bougre et pas en grâce je trouve. Il a squatté tous les films où un moutard à l'air ahuri, aux cheveux hirsutes et aux oreilles décolées était nécessaire... mais là, il a 17 ans au moment où je vous parle. Il va finir par avoir atteint l'âge limite pour courir dans les pâturages. Cela dit, sa Sélénia a mille ans, donc, je dis n'imp' en fait.

  • Qu’un seul tienne et les autres suivront de Léa Fehner ****

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    Que peuvent bien avoir en commun Stéphane qui va accepter un marché bien tordu pour essayer de se sortir de la mouise, Zohra algérienne qui vient en France pour comprendre comment et pourquoi son fils est mort et Laure jeune fille de 16 ans incomprise qui va s’amouracher d’un jeune rebelle un peu révolutionnaire ?

    Simplement et accidentellement, ils vont tous se retrouver à faire la queue pour entrer au parloir d’une prison du sud de la France. Et ce film, le premier d’une jeune réalisatrice de 28 ans nous y conduit de façon magistrale après nous avoir fait partager un peu la vie de chacun des personnages pendant deux heures exceptionnelles. Et ses personnages, elle les aime, elle ne les stigmatise pas, ne les juge pas et du coup on entre avec une facilité déconcertante en empathie avec eux.

    Réussir un film choral est un exercice de haute voltige et Léa Fehner le maîtrise admirablement. Les trois personnages principaux n’ont rien à voir les uns avec les autres, ne se rencontrent pas, leurs histoires n’ont rien en commun, sauf peut-être la tragédie, l’événement ou la décision qui va les mener au parloir, mais elles nous sont racontées avec une fluidité, une cohérence et une progression dramatique tellement maîtrisées qu’elles forcent l’admiration.

    De prison il est question et pourtant on n’y passe relativement peu de temps. Tout se joue également à l’extérieur, car la prison ne détruit pas uniquement ceux qui y sont entre les murs. Mais la réalisatrice tourne autour du bâtiment imposant et monstrueux, nous laissant découvrir le no man’s land où il est construit mais aussi percevoir les bruits tellement caractéristiques tels que les clés qui tournent dans les serrures, les portes qui claquent et les cris qui fusent constamment.

    Par touches successives, la réalisatrice décrit les moments où la vie de chacun va basculer pour parvenir à son épilogue et on aimerait pouvoir prolonger encore cet accompagnement et savoir ce qu’ils vont devenir.

    La maîtrise de son sujet et de sa réalisation n’est pas le seul atout de Léa Fehner et elle peut y ajouter une direction d’acteurs hors pair. Elle a tiré le meilleur des quelques joyaux qui composent son extraordinaire casting. La petite Pauline Etienne en ado/adulte « pas si jeune que ça » est toujours d’une justesse impressionnante, Farida Rahouadj incarne à elle seule toutes les femmes maternelles/« maternisantes » du cinéma, Julien Lucas le jeune médecin mufle, macho se transforme imperceptiblement et succombe presque à son insu, Marc Barbé est un élégant manipulateur tout en finasseries, Vincent Rottiers voyou charmeur souvent au bord de l’implosion, et bien sûr surtout Reda Kateb, déjà particulièrement remarquable dans « Un prophète », il prouve ici ce qu’est un Acteur tout en douceur...

    Mais au fond il n’est pas étonnant qu’avec un titre aussi magnifique Léa Fehner ait réussi un film qui y ressemble, humain, intense, fiévreux et chaleureux.

  • 1 invitation pour 2 personnes pour LA PRINCESSE ET LA GRENOUILLE

    A l'occasion de la 6ème édition de la soirée "Allociné Family and Friends" qui aura lieu le 6 janvier 2010 avec la projection en avant-première du film d'animation :

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    Al Amine me donne la possibilité de vous offrir une INVITATION pour 2 PERSONNES.

    Pour gagner, c'est très simple il faut :

    - être parisien ou pouvoir être à Paris à cette date,

    - vouloir et pouvoir assister à la soirée,

    mais surtout :

    - écrire une jolie rédaction (pas un roman en trois tomes, merci) dont voici le sujet :

    "devant vous, une grenouille... non seulement si vous l'embrassez elle se transforme, mais mieux encore elle se transforme en Prince ou Princesse Charmant(e) dont vous rêvez. Décrivez-moi ce Prince ou cette Princesse idéal(e) qu'il s'agisse d'un personnage réel ou imaginaire"! 

    Concours très subjectif car c'est moi qui choisirai la personne dont le commentaire m'aura le plus fait rire ou pleurer... ou pleurer de rire, c'est encore mieux !

    Vous avez jusqu'à ce soir minuit.

    La Princesse et la grenouille

  • Allez un dernier petit effort :

    je constate que plus personne ne cherche à résoudre le merveilleux "jeu du lundi" qui paraît n'importe quel jour. Donc pour le "jeu du lundi" de lundi, il reste encore 3 titres de films à trouver et LE point commun entre tous ces films.

    Et ben voilà, y'a qu'à demander ! Et moi qui n'osais pas... Bravo et merci à ceux qui sont passés : F, Marion, Michèle qui est d'accord avec Jordane qui est d'accord avec Michèle !

    LE point commun est MOZART !

     

    Evidemment il n'y a plus rien à gagner mais pour vous encourager, sachez que très bientôt, il y aura un nouveau "jeu du lundi" (aujourd'hui ou demain).

    Hélas, deux énormes handicaps :

    - il n'y aura qu'une fois deux places à gagner,

    - il faudra être parisien ou être à Paris le 6 janvier 2010 pour pouvoir le remporter...

    En attendant, creusez vous un peu :

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    OUT OF AFRICA

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    EYES WIDE SHUT

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    LA MAÎTRESSE DU LIEUTENANT FRANCAIS

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  • Des places de cinéma à gagner pour LE SOLISTE

    Grâce à Mathieu de Studio Canal, je peux vous offrir 5 X 2 places pour

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    de Joe Wright avec Robert (je t'aime d'amour) Downey Jr et Jamie Foxx qui sort le 23 décembre.
    Voici les règles du jeu :

    1) trouvez LE TITRE EXACT D'UN FILM dont j'ai extrait un morceau d'affiche (le plus malin peut aussi me dire quel est le point commun entre tous ces films mais il n'aura rien de plus que mon admiration...),

    2) donnez votre réponse ICI dans les commentaires (si votre message ne s'affiche pas immédiatement comme cela arrive parfois... il me parviendra avec son heure d'arrivée donc, je saurai qui a donné la bonne réponse en premier),

    3) ne donnez qu'un titre dont vous êtes absolument certains, car je n'accepterai qu'UNE SEULE BONNE RÉPONSE à la fois par personne (même si vous en donnez deux qui sont bonnes, je ne les accepterai pas, UNE c'est UNE...). Par contre, si et seulement si (pas avant) je vous ai dit dans les commentaires que votre réponse est fausse, vous pouvez retenter votre chance en faisant une autre proposition (et toujours une seule à la fois),

    4) lorsque j'aurai annoncé le nom des gagnants (PAS AVANT), ils pourront me donner leur adresse à uupascale@gmail.com pour que les places leur parviennent.

    5) lorsque les 5 gagnants auront été révélés, vous pourrez continuer à trouver les réponses restantes.

    Non, parfait. Bon amusement.

    LES GAGNANTS SONT : Ed, pipelette 07, Michèle, Mailis2003 et Marine.

    ET GLOIRE A MISTER QUI ARRIVE A PAS DE LOUP, NE JOUE QUE POUR ELLE (la gloire) ET TROUVE DES REPONSES QUE JE NE VOIS PAS. IL A DONC TROUVE QUE LE POINT COMMUN EST MON CHER WOLFGANG ADORé.

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    BARRY LYNDON - Marine
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    AMADEUS - Michèle
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    LA FLÛTE ENCHANTEE de Kenneth Brannagh - pipelette 07
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    LA FLÛTE ENCHANTEE de Ingmar Bergman - sternelle
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    OUT OF AFRICA - MISTER LOUP
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    DON GIOVANNI - Ed
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    L'ACCOMPAGNATRICE - Mailis2003
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    EYES WIDE SHUT -
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    LA MAITRESSE DU LIEUTENANT FRANCAIS - MISTER LOUP
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    THE BARBER - Jordane

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    Synopsis : Steve Lopez est dans une impasse. Le journal pour lequel il travaille est en pleine crise, son mariage est un échec, et le temps où il aimait son métier de journaliste est bien loin. Et puis un jour, dans la rue, il entend de la musique. Un étrange vagabond, Nathaniel Ayers, joue de toute son âme, et même si son violon n'a que deux cordes, une émotion unique surgit. Pour Steve, l'étonnant violoniste est d'abord un bon sujet pour sa chronique, et il va peu à peu percevoir tout le mystère qui entoure ce personnage. Le journaliste décide de sortir Ayers de la rue et de le rendre au monde de la musique. Alors qu'il s'acharne à sauver la vie de ce sans-abri hors norme, Steve Lopez se rend peu à peu compte que c'est finalement Ayers qui, à travers sa passion dévorante, son obstination à rester libre et ses tentatives courageuses pour nouer des liens avec les autres, va profondément le changer...