THE RETURN, LE RETOUR D'ULYSSE
d'Uberto Pasolini *
Avec Ralph Fiennes, Juliette Binoche, Charlie Plummer
Quelques mots afin de vous permettre de faire quelques économies. Ne me remerciez pas, je suis là pour ça.
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d'Uberto Pasolini *
Avec Ralph Fiennes, Juliette Binoche, Charlie Plummer
Quelques mots afin de vous permettre de faire quelques économies. Ne me remerciez pas, je suis là pour ça.
d'Edward Berger ****
Avec Ralph Fiennes, Stanley Tucci, Isabella Rossellini, John Lithgow, Carlos Diehz, Sergio Castellitto
Le Pape est mort. Le cardinal Lawrence est donc chargé contre son gré de réunir et organiser le prochain conclave dans le but d'élire le nouveau souverain pontife.
de Mark Mylod °
Avec Ralph Fiennes, Ana Taylor-Joy, Nicolas Hoult
12 convives triés sur le volet, je ne sais toujours pas comment on trie sur un volet je dirai donc soigneusement sélectionnés...
de Matthew Vaughn ***
Avec Ralph Fiennes, Gemma Arterton, Djimon Hounsou, Rhys Ifans, Matthew Goode, Harris Dickinson, Tom Hollander
Merci à Cinétrafic et 20th Century Studios grâce à qui j'ai pu revoir ce film enthousiasmant.
Il sera disponible en 4K UHD, Blu-Ray, DVD, Coffret trois films Kingsman et Vidéo à la demande dès le 6 mai, et en Achat digital depuis le 28 avril. Voici le site Internet de l'Editeur, ses pages Facebook et Twitter.
de Matthew Vaughn ***
Avec Ralph Fiennes, Gemma Arterton, Djimon Hounsou, Rhys Ifans, Matthew Goode, Harris Dickinson, Tom Hollander
Orlando Duc d'Oxford promet à sa femme mourante lors de la guerre des Boers qu'il protègera leur fils Conrad des horreurs de toute guerre à venir.
de Cary Joji Fukunaga ***(*)
avec DANIEL CRAIG, Léa Seydoux, Rami Malek, Ralph Fiennes, Ben Wishaw, Lashana Lynch, Naomie Harris, Ana de Armas
Bond, James Bond a pris sa retraite et coule des jours heureux en Jamaïque. Je trouve ces jours moyennement heureux car il pèche de gros poissons moches dans une mer azuréenne. Son matricule 007 a été réattribué. TRAHISON ! Son badge pour entrer au MI6 porte la mention "visitor". FELONIE !
Synopsis : Un message cryptique surgi du passé entraîne James Bond dans une mission très personnelle à Mexico puis à Rome, où il rencontre Lucia Sciarra, la très belle veuve d’un célèbre criminel. Bond réussit à infiltrer une réunion secrète révélant une redoutable organisation baptisée Spectre.
Dans un pays imaginaire de l'Est de l'Europe nommé Zubruwska, dans les années 30, Monsieur Gustave est le Concierge du grand Hôtel Budapest, un Palace qui accueille de richissimes personnages.
Voilà, c'est fini, et je ne peux nier que bien que terriblement impatiente de voir enfin comment serait rendu sur grand écran l'épilogue d'une histoire qui a tenu en haleine des hordes de moldus pendant 10 ans, être triste à l'idée de ne plus avoir ce rendez-vous presqu'annuel avec les trois sorciers amis alavie/alamort Harry, Ron et Hermione et aussi Alan Rickman. C'est bon ces rendez-vous que l'on s'impose et où alternent emballement et déception mais dont il est néanmoins inconcevable d'en rater un seul.
Après avoir vu la première partie de ce dernier tome scindé en deux pour le cinéma je m'attendais à un final en forme d'apothéose. Hélas Les Reliques de la Mort : partie 1 resteront donc pour moi et à tout jamais le meilleur épisode cinématographique de la saga, le plus beau, le plus fort, le plus émouvant, le plus captivant. Car quelle déception ici ! J'ai presque constamment eu le sentiment que le réalisateur avait en tête une idée et une seule : conclure, mais aussi une angoisse, une terreur : être meilleur que bon, ne pas décevoir, en faire beaucoup mais pas trop ! Bref, c'est difficile à exprimer réellement. Peut-être est-ce finalement mon attente ou mon exigence qui m'ont rendu cet épisode appliqué mais hélas trop souvent monotone dénué du feu et de l'ardeur du précédent ? Peut-être, ou pas !
Après avoir enterré Dobby "L'Elfe libre", Harry et son duo/couple d'inséparables Ron et Hermione ont rendez-vous avec son destin : la destruction des horcruxes qui affaiblit Voldemort et finalement le "duel" qui opposera les deux sorciers, les forces du mal contre les forces du bien. Pour cela, Harry, Ron et Hermione doivent retourner à Poudlard où ils sont accueillis avec enthousiasme. Poudlard ressemble à une sombre prison depuis que le professeur Rogue en a pris la direction. Les élèves et les professeurs en assurent la défense contre les mangemorts et les géants belliqueux pendant qu'Harry va rencontrer Voldemort dans une forêt. Il en profite pour résoudre l'énigme du Vif d'Or, découvre la Pierre de Résurrection et retrouve pour quelques instants ses parents, son parrain et supplie sa ptite maman, avant d'aller vers sa mort quasi certaine de ne plus jamais le quitter... etc etc.
Et malgré une infinité d'événements et de révélations, une 3 D aussi inutile que sans intérêt, un Neville Londubat qui prend ici une place considérable mais est hélas interprété par un garçon à l'absence totale de charisme Matthew Lewis on l'oublie il est impardonnable, des morts en pagaïe, une guerre sans merci, un baiser fougueux entre Ron et Hermione (à l'initiative d'Hermione le génie évidemment), le sauvetage de Drago par Harry, la destruction de Poudlard, les scènes de guerre et notamment celles d'après combats (très belles) dans un Poudlard en ruines et j'en passe... (même les trois jeunes acteurs principaux qui avaient pris une belle envergure dans la première partie paraissent ici plus statiques) tout ceci m'a semblé d'une platitude sans nom, indigne et quasi révoltante compte tenu de l'enjeu considérable.
ATTENTION (petit) SPOILER
Néanmoins, il y a dans ce film environ 10 minutes qui représentent pour moi le sommet de ce dénouement et qui à elles seules justifient de se rendre en salle. Il faut dire que c'est le professeur Rogue (mon personnage préféré), Alan Rickman (immense acteur devant l'éternel) qui en est le "coeur". J'emploie ce mot à dessein car pendant quelques instants, les aventures du petit sorcier devenu grand sont transfigurées pour laisser place à une grande histoire d'amour. Celle d'un homme en noir dont la vie n'aura été qu'humiliations et résignation au nom et en hommage à un sentiment désintéressé qui porte au renoncement et au sacrifice.
Pour ces quelques minutes réellement bouleversantes et entendre Rogue supplier Harry de le regarder dans les yeux...
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AU FESTIVAL DU FILM DE CABOURG ?
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GREEN ZONE de Peter Greengrass ***
REMEMBER ME de Allen Coulter **
HUIT FOIT DEBOUT de Xabi Molia **
LE CHOC DES TITANS de Louis Leterrier °